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«Toupet» crêpé, cheveux gaufrés, rouge à lèvres et veste en cuir étaient au rendez-‐vous mercredi soir dernier pour une soirée de bowling style rétro.
BOWLING RÉTRO
POLITIQUE ÉTRANGÈRE DU
BRÉSIL
Compte-‐rendu de la conférence présentée par l’ambassadeur du Brésil au Canada, Piragibe dos Santos Tarragô.
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20 octobre 2011
Journal bimensuel du Baccalauréat intégré en études internationales et langues modernes
BUTINEURVolume 1, numéro 5
suite en page 2
PORTRAIT D’UNE FINISSANTE
Entrevue avec l’ex-‐présidente du bac, Bianca Sirois qui travaille maintenant pour le Gouvernement du Québec.
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UNE SESSION EN ESPAGNE
Témoignage de Amélie Gourde suite à son expérience
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Bowling rétroSORTEZ VOS SUITS ET VOS ROBES C’EST WEDNESDAY NIGHT FEVER.
par Valérie Paquette• • •
Tous et chacun ont pu démontrer leur talent de joueur de quilles en effectuant plusieurs abats ainsi que quelques dalots tout en faisant
quelques pas de danse sur des airs de Grease. Une fois la partie terminée, nous nous sommes tous et toutes retrouvés autour d’une bière au Cactus, où nous avons enQlammé la piste de danse improvisée avec notre musique
des années 70. Encore une fois, tous les étudiants étaient bien contents d ’avoir une autre occasion de s’amuser comme nous savons si bien le faire. Les partys du BEILM sont déQinitivement à ne pas manquer.
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Portrait d’une finissante : Bianca Sirois
Nom : Bianca Sirois
Âge: 24 ans
Graduation : Juin 2011
Emploi actuel : Conseillère en communication/chargée de projet pour le Ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs
Citation préférée : «Une mer calme ne forme pas un marin d’expérience.»
Voyage marquant : Un voyage d’enfance en Iran. Ce voyage a contribué à une prise de conscience concernant la condition des femmes, la démocratie et la liberté d’expression.
LE SUCCÈS RÉSIDE DANS LE COURAGE, LA DÉTERMINATION ET LA VOLONTÉ D’ATTEINDRE NOS BUTS. IL NE FAUT PAS SEULEMENT SAIS IR TOUTES LES OPPORTUNITÉS QUI S’OFFRENT À NOUS, IL FAUT LES CRÉER. LE BUTINEUR VOUS PROPOSE UNE ENTREVUE AVEC BIANCA SIROIS, UNE ANCIENNE ÉTUDIANTE DU BEILM, QUI GRÂCE À SON AMBITION ET SA DÉTERMINATION, A DÉCROCHÉ UN EMPLOI EN COMMUNICATION DÈS L’OBTENTION DE SON DIPLÔME UNIVERSITAIRE.
par Julie Paillé• • •
Bianca, tu as terminé le bac en juin
dernier et tu es maintenant conseillère
en communicaRon/ chargée de projet. Primo, félicitaRons et secundo,
comment as-‐tu obtenu le poste?
En fait, j’ai obtenu ce poste, car j’ai passé le concours du Gouvernement du Québec pour les finissants universitaires et parce que j’avais déjà acquis de l’expérience en occupant un poste d’étudiant au sein du gouvernement provincial.
Qu’est-‐ce qui te passionne le plus dans ton travail?
Ce que je préfère dans mon travail s’explique en deux points :
1. L’apprentissage! J’apprends comment monter un projet de A et Z. C’est complexe, pas toujours facile et c’est un
processus assez long. Mais j’ai de belles responsabilités et c’est motivant.
2. La mission! Croyez-le ou non, le MDDEP a changé ma vie. Comme l’environnement es t notre cause principale, on est souvent appelé à poser des gestes pour réduire notre empreinte écologique. Aujourd’hui, mes moyens de transport principaux sont la marche et l’autobus. Je fais du compostage au boulot et je participe à un jardin communautaire. Je sais que chaque geste compte pour un environnement plus sain
Lors de tes études, pourquoi as-‐tu choisi
le profil communicaRon, volet relaRons publiques?
Je visais une formation axée sur la structure des entreprises et plus précisément sur la communication organisationnelle. Je voulais en apprendre davantage sur les techniques de communication et de réseautage ainsi que sur l’organisation d’événement.
Quels sont les cours que tu as préférés lors de ta formaRon en communicaRon?
J’ai beaucoup apprécié le cours C o m m u n i c a t i o n i n t e rc u l t u re l l e internationale, car j’ai appris que la bonne communication est une technique difficile à maîtriser. Elle en est même un art! L’autre cours que j’ai préféré est Démarche et moyens de relations publiques, car il offre plusieurs ateliers permettant de simuler le travail de relationniste. On évalue des dépliants, on
Les opportunités sont nombreuses suite à l'obtention de son diplôme. Il sufQit seulement de savoir où l’on souhaite se diriger. Remplis d'ambition, plusieurs Qinissants se démarquent et décrochent des emplois passionnants dès l'obtention de leur diplôme. Où se cachent-‐ils? Au Qil des publications, Le Butineur s'engage à les rencontrer pour qu'ils nous partagent leurs expériences.
Que sont-ils devenus ?
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monte des plans de communication, on évalue le coût d’un stand, etc.
Selon toi, quel est l’apport de ce]e concentraRon pour le programme?
Le Baccalauréat intégré en études internationales et langues modernes est génial parce qu’on réussit à créer notre propre cheminement scolaire, selon nos compétences et nos intérêts. La concentration en communica t ions pe rme t aux étudiants de s’intégrer au monde des communications sans être étouffés par les cours obligatoires du baccalauréat en communication.
L’an dernier, lors d’une conférence
pendant laquelle tu présentais la
concentraRon communicaRon, tu
as menRonné que dans la vie, il
faut savoir faire son chemin, saisir toutes les opportuni tés , se
démarquer et s’impliquer. Peux-‐tu nous parler de ton implicaRon
lorsque tu étais étudiante?
Certainement. J’ai d’abord été Vice-présidente des finances pour l’ABEILL. Puis, en plus d’être bénévole pour différents événements universitaires, j’ai fait entendre ma voix lors de quelques manifestations étudiantes. J’ai également participé à la simulation des Nations Unies de Harvard deux années consécutives. Enfin, j’ai eu la chance d’être présidente du bac pendant une merveilleuse année. J’avais le goût
de m’impliquer et de changer le monde et c’est pourquoi j’ai commencé par mon environnement!
En terminant, quels conseils
donnerais-‐tu aux étudiants du BEILM?
Si vous voulez décrocher un boulot en sortant de l’université, il faut prendre votre carrière au sérieux dès le début de vos études. Je vous conseille fortement de dénicher un emploi ayant un lien à votre domaine d’étude, de trouver des stages et de vous impliquer dans des comités qui vous donneront l’opportunité de développer diverses aptitudes. Il y en a beaucoup à l’Université, alors n’hésitez pas à vous impliquer!
LE PÉROU
par Maude Gagnonet Valérie Paquette
• • •
Pour certains, plusieurs mois sont nécessaires pour s’imprégner de la culture d’un pays, mais pour nous il n’a fallu que dix jours pour succomber au charme du Pérou…
Le 13 mai 2009, fébriles face à l’idée de notre baptême de l’air et de notre «premier vrai voyage», nous nous envolions vers le royaume des Incas. Arrivées sur place, un c h o c c u l t u r e l n o u s attendait. À peine sorties de l’aéroport, afQichant notre petite peau blanche de Nord-‐Américaines, nous nous sommes fait assaillir de fans. Et oui, sortant de leur autobus
scolaire, une bande d’enfants en uniforme ont couru vers nous pour nous saluer et nous offrir des
CARNET DE VOYAGEUne cuisse de cochon d’Inde pour dîner
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présents. Une fois remises de cette aventure nous avons dû faire 14 heures de route sur un chemin sinueux et accidenté pour se rendre à Arequipa, où nous avons visité un orphelinat. Là-‐bas, les enfants nous ont appris une belle leçon d’humilité; bien qu’ils aient très peu, ils savent sourire à la vie et apprécier le moment présent, c’est d’ailleurs une pensée que tous les Péruviens app l i quen t d a n s l e u r q u o t i d i e n . E n s u i t e , après la visite du cé lèbre M a c h u Picchu, nous nous sommes r e n d u e s à Puno, pour découvrir le fameux Lac T i t i caca e t s e s î l e s Q l o t t a n t e s , aussi d i tes Los Uros. Sur
ces îles, nous avons pu écouter les histoires d’un insulaire et revêtir les habits traditionnels péruviens. Finalement, pour terminer notre voyage , nous nous sommes dirigées vers Ollantaytambo, une v i l l e m a g n i Q i q u e
e n t o u r é e d e ruines incas, où nous avons dû r e s t e r p l u s longtemps que prévu en raison d ’ u n e manifestation des agriculteurs de la r é g i o n . P o u r exprimer leur mécontentement, ils ont bloqué les principales routes avec d’immenses roches
qui rendaient les déplacements en autobus quasi impossibles. Une fois de plus, le Pérou nous en a fait voir de toutes les couleurs.
Par sa culture, sa langue, ses paysages e t son h is to i re , l e Pérou es t assurément un pays à découvrir où de multiples aventures vous attendent…
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Vox-popPour moi, l’ABEILL c’est...
J CUne bonne place pour faire son social avec le monde du bac !
P-A G-M
Un endroit où je peux rencontrer des nouvelles personnes et des nouvelles idées ainsi que pour étudier et discuter à propos du bac; c'est l'occasion d'avoir un sen=ment d'appartenance. Selon des rumeurs, il y aurait eu des choses assez inédites et crous=llantes qui se sont produites dans le local.
C P TLa procras=na=on !
J B L'endroit où je vais faire mon p'=t social de la journée!
V PqUn endroit où il y a des divans TELLEMENT confortables et où on peut dormir pendant nos pauses du cours d'Histoire du XIXe et XXe siècles avec le fameux Ronald!
V JUn endroit pour socialiser, jaser avec du monde et s'amuser.
S GUn insecte.
Le local de l'Association du baccalauréat intégré en Études internationales et langues modernes se situe au 0207 du pavillon Charles-‐De-‐Koninck. Si vous n'y avez pas encore mis les pieds, il s'agit du lieu par excellence pour échanger avec d'autres étudiants du bac, poser des questions, rencontrer des gens allumés, et surtout... procrastiner! En primeur : café équitable à 50 sous et biscuits aux pépites de chocolat à un dollar. Bref, venez-‐nous rendre visite !
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Portrait inspirant : Roxane Légaré
Nom : Roxane Légaré
Âge : 23 ans
Année d’études : dernière année de maîtrise
Ville d’origine : Ste-Catherine de la Jacques-Cartier
Passe-temps : Escalade et randonnée
Emploi de rêve : Chez OXFAM Québec, en tant que coordinatrice de projet ou dans le domaine de la mobilisation jeunesse.
Voyage marquant : 1 mois à Berlin où elle a découvert la langue et la culture allemande
Citation préférée : «Soyez le changement que vous désirez voir dans le monde.» -Ghandi
Personne qui l’inspire : Nelson Mandela
DANS UN BACCALAURÉAT COMME LE
NÔTRE, C’EST L’IMPLICATION QUI FAIT TOUTE LA D I F FÉRENCE . A LORS
LAISSONS-‐NOUS INSPIRER PAR ROXANE LÉGARÉ, UNE DIPLÔMÉE QUI VIENT
D’ENTAMER SA MAÎTRISE EN ÉTUDES
INTERNATIONALES ET QUI TROUVE TOUT DE MÊME LE TEMPS POUR
GARDER UNE GRANDE PLACE À L’IMPLICATION.
par Maude Gagnon• • •
Au cours du baccalauréat, quelle était ta concentraRon et quelles langues as-‐tu étudiées?
J’étais en politique et au départ mes langues étaient le chinois et l’anglais. En cours de route, j’ai Qinalement changé l’anglais pour l’allemand.
Quel cours t’as le plus apporté?
Le cours de Droit international avec Olivier Delaat. Comme il est avocat, il avait une approche plus pratique; il nous montrait des exemples concrets, c’était donc vraiment pertinent. [À tous les premières années] Si vous avez la possibilité de suivre un cours avec ce professeur, peu importe le cours, prenez-‐le, car il est vraiment excellent.
Ce]e année, tu termines ta maîtrise, peux-‐tu nous expliquer en quoi elle consiste?
Je fais la maîtrise en développement international, qui est l’une des deux ma î t r i s e s o f f e r t e s e n é t u d e s internationales. J’ai choisi le type essai-‐stage, je suis donc certains cours qui me préparent à un stage, de mon choix, qui a lieu à la Qin de la dernière année.
Quels cours suis-‐tu dans le cadre du deuxième cycle d’études?
J’ai des cours d’économie, de droit interna=onal et de science poli=que.
Quel type de stage aimerais-‐tu faire?
Je ne sais pas si ce stage existe…mais j’aimerais travailler à l’agence de l’ONU pour les réfugiés à Vienne.
Étant une personne très impliquée, peux-‐tu nous dire quelle a été la première œuvre pour laquelle tu as travaillé?
J’ai participé à la levée de fonds pour venir en aide à Haïti, en mars 2009, laquelle était organisé par l’association Oxfam Québec de l’Université Laval.
Ce]e année, dans quelles associaRons t’impliques-‐tu? Quel rôle joues-‐tu?
Je préside deux associations, le POMD et la division d’Oxfam Québec de l’Université Laval. C’est donc moi qui coordonne les projets qui sont o r g a n i s é s , l e s c ampa gn e s d e sensibilisation et les pétitions, par exemple.
Quels sont tes projets futurs?
J’aimerais continuer de travailler pour Oxfam Québec, c’est un organisme que j’adore.
Y a-‐t-‐il une cause pour laquelle tu aimerais travailler dans le cadre de tes futures foncRons?
La cause des changements climatiques me touche beaucoup, en particulier les impacts qu’ils ont sur l’économie, la société et la politique. Trop peu de gens sont conscients de leurs conséquences et du fait que les changements climatiques ont déjà commencé à changer le cours des choses. J’aimerais
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donc faire de la sensibilisation à ce niveau là.
Quel conseil donnerais-‐tu aux premières années qui se sentent incertains face à ce baccalauréat?
Persévérez! C’est aussi important de s’impliquer parce que c’est ce q u i r e n d l ’ e x p é r i e n c e universitaire intéressante, c’est ce qui nous permet d’apprendre ce qu’on aime et ce qu’on aime moins. Comme c’est un bac m u l t i d i s c i p l i n a i r e , c ’ e s t important de trouver ce qui nous intéresse et c’est comme ça qu’on parvient à adapter le bac à ses besoins.
LE MARDI 27 SEPTEMBRE A EU LIEU UNE CONFÉRENCE DONNÉE PAR SON EXCELLENCE PIRAGIBE DOS SANTOS TARRAGÔ, AMBASSADEUR DU BRÉSIL AU CANADA. LE SUJET PORTAIT SUR LA POLIT IQUE ÉTRANGÈRE DU BRÉSIL ET LES RELATIONS AVEC NOTRE PAYS. BIEN QUE TRÈS CHARGÉE, VOICI EN QUELQUES LIGNES UN RÉSUMÉ DE CETTE CONFÉRENCE ET LES POINTS IMPORTANTS À RETENIR.
par Emmanuelle C. Bédard• • •
Tout d’abord il faut savoir que la croissance économique du Brésil est de 4% par année et aQin de m a i n t e n i r c e n i v e a u d e développement, une coopération internationale est nécessaire. Il est possible d ’ identi Q ier quatre v e c t e u r s a u p a r t e n a r i a t international : une coopération avec l’Amérique latine (ayant
comme noyau le MERCOSUR), une alliance Sud-‐Sud avec l’Afrique (UNASUR, AFRAS) ainsi que l’Asie et enQin une collaboration avec l’Amérique du Nord et l’Europe. Deux types de relations sont essentiels : la relation bilatérale, très intense entre deux pays; et interrégionale, aQin de créer une identité propre de l’Amérique du Sud.
Le Brésil est perçu par la communauté internationale comme étant un partenaire intéressant pour son abondance de richesses naturelles. Il est un important producteur de pétrole grâce à des forages en haute mer. Bien qu’il exporte beaucoup de matière première, le secteur secondaire est en développement e t p rend de p l u s en p l u s d’importance au niveau des exportations du pays.
Entre le Canada et le Brésil, les conditions sont favorables pour une bonne entente sur le long terme. De nombreux échanges se font entre les deux pays surtout dans le commerce de produits pharmaceutiques, de technologies propres et vertes, etc. Le Canada recherche de nouveaux marchés, autre que les États-‐Unis, et le Brésil offre cette possibilité.
CONFÉRENCE : LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE AU BRÉSIL
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JONATHAN GRONDINpar Olivier Béland
• • •
En trois ans d'études dans le BEILM, Jonathan Grondin, membre de la plus récente cohorte de Qinissants, a suivi u n g r a n d é v e n t a i l d e c o u r s s'intéressant à la politique tant nationale qu'internationale. Grand passionné de cette discipline, le jeune homme or ig ina ire de Lév is a particulièrement affectionné ce cursus pour la rigueur et la pertinence des cours offerts.
Quels sont les cours l’ayant le plus captivé? «DéQinitivement Relations internationales des États-Unis et P r o b l è m e s d e r e l a t i o n s internationales!» afQirme-‐t-‐il. «Ce sont des prérequis à la compréhension globale.» Il est à noter que ces deux cours sont donnés par Anessa L. K imba l l , e n s e i gnan te qu ' i l a grandement appréciée. À l'inverse, le c o u r s H i s t o i r e d e s r e l a t i o n s internationales de l'Europe après 1945, offert par Jean-‐Pierre Derriennic, lui a donné de gros maux de tête! La lourdeur du contenu de certains cours et la pédagogie défectueuse de l'enseignant à certains moments sont principalement en cause. Tout compte fait, le nouveau diplômé se dit satisfait des notions qu'il a acquises lors de son cheminement en politique. S’il
avait à refaire le choix d’une concentration, ce serait sans aucun doute le même qu'il y a trois ans!
NOÉMIE DÉRASPENoémie Déraspe, qui en est à sa dernière année d'études dans le bac, a également opté pour la même concentration. S'étant toujours intéressée à cette sphère des sciences sociales, son choix fut un automatisme. «Je pense que c'est surtout l'intérêt pour la matière qui m'a fait opter pour cette concentration, plutôt que le rapport à l 'emploi que ça pourrait m'apporter après. Je suis très motivée à faire des cours de sciences politiques parce que j'aime ça !» révèle d'emblée la
Madelinienne. D'un point de vue purement académique, elle n'a que de bons mots à dire sur les cours qu'elle a suivis: «J'ai beaucoup aimé le cours Régimes politiques et sociétés dans le monde parce que la matière était vraiment intéressante et qu'il m'a permis d'élargir mes connaissances, ainsi que le cours Politique et démocratie au Canada et au Québec qui je crois est un essentiel.» afQirme l'étudiante de 22 ans. À ce propos, elle déclare qu'il est important de savoir tout d'abord comment fonctionne notre système politique avant de s'avancer sur d'autres terrains. Croit-‐elle que le cursus de cours offert dans cette concentration est bien adapté aux objectifs du BEILM ? «Plus ou moins. Il y a, je crois, certains cours qui pourraient être ajoutés à la liste de cours disponibles, mais je ne m'avancerai pas dans des questions administratives !» (Rires).
Concentration : Politique
Le Baccalauréat intégré en Études interna=onales et langues modernes offre un choix varié de concentra=ons couvrant plusieurs domaines d'étude. Ces concentra=ons orientent le cheminement de l'étudiant tout au long de son parcours académique. Ce dernier a en effet 21 crédits à cumuler dans le profil qu'il choisira. Suite à l'excellent ar=cle sur la concentra=on Développement interna=onal de la précédente publica=on, Le Bu=neur récidive en jetant ceYe fois un coup d'œil à la concentra=on Poli=que.
Un choix judicieux
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VINCENT GAGNONpar Sara Di Zazzo
• • •
P o u r v o u s p r é s e n t e r l a concentration Italien, Le Butineur a rencontré Vincent Gagnon, dans le but d’avoir l’opinion d’un étudiant ayant l’expérience de
deux ans dans ce proQil. À son arrivée au bac, le choix de la langue s’est fait simplement en fonction d’un intérêt pour les langues latines. Vincent a suivi, en plus des trois cours de langue obligatoires, les cours Civilisation de l’antiquité ainsi que Le Monde
Romain. Malgré son intérêt pour ces deux cours, il déplore que l’Italie n’ait pas été au centre du sujet exploité. De plus, Vincent afQirme que le proQil gagnerait à offrir des cours qui se donnent en italien. Il explique que malgré l’utilité relative de la maîtrise de la
l angue e t de l ’ h i s to i re italienne, les connaissances a c q u i s e s s o n t t r è s intéressantes et servent beaucoup pour faire des p o n t s a v e c l e s a u t r e s matières. Selon lui, la richesse du proQil italien est l’angle historique et archéologique qui y est exploité.
Langue : italien
LE QRC 2011 (QUEBEC REGIONAL CONFERENCE) A EU LIEU À QUÉBEC LORS DE LA FIN DE SEMAINE DU 23 AU 2 5 S E P T EMBR E . C E T T E CONFÉRENCE A PERMIS AUX MEMBRES DE AIESEC DES QUATRE C O I N S D U Q U É B E C D E S E RASSEMBLER POUR SOCIALISER ET ÉCHANGER SUR DIVERS SUJETS D’ACTUALITÉ.
par Élise Robidoux Dumont• • •
Au total, près de 175 membres provenant de sept universités se sont rassemblés, soit l’Université Laval, l’UQÀC, l’Université de Sherbrooke, McGill, Concordia, l’UQÀM ainsi que le HEC Montréal.
Au programme : des formations rel iées au développement des AIESECers, des échanges de visions et d’idées sur des enjeux locaux, régionaux et internationaux, une conférence avec un représentant de l’entreprise canadienne Procter & Gamble, des périodes de discussions entre les différents membres de chaque comité; une grande simulation d’un avant-‐midi sur les différentes activités durant une année d’AIESEC, etc.
Le QRC est un excellent moyen de découvrir les opportunités qu’AIESEC offre et propose une meilleure compréhension de l’organisation et de ses valeurs. Il donne les outils et les
connaissances dont vous avez besoin pour bien débuter une expérience AIESEC et i l rend possible le développer d’un réseau avec des personnes qui ont un bagage et une culture différente tout en partageant les mêmes ambitions.
Le QRC 2011 fut un succès. La date pour le QRC 2012 n’est pas encore établie, mais l’événement s’annonce tout aussi enrichissant. Y serez-‐vous?
Je vous rappelle que si vous voulez en apprendre davantage sur AIESEC, les bureaux se situent au PAP-‐0413. Il est également possible de s’inscrire pour participer à un stage international en communiquant avec Katherine Naud ([email protected]).
La passion pour l’international partagée entre des étudiants des quatre coins du Québec
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Profil international
par Amélie Bélisle• • •
Quelles ont été les principales différences que tu as pu constater entre ce]e ville et le Québec ? Qu’est-‐ce qui t’a le plus marqué ?
Je suis arrivée au début février et il faisait environ 8 degrés… Pour moi, c’était le printemps ; il n’y avait pas de neige et il faisait s o l e i l . T o u t autour de moi, les gens étaient vêtus de gros manteaux et ils ava i en t tous f r o i d . J ’ a i compris que la to l érance au froid était très d i f f é r e n t e ! Q u a n d i l a c ommencé à faire chaud au mois d’avril (en h a u t d e 2 5 degrés), j’étais en shorts et en camisole alors
que tous l e s
Espagnols portaient encore des bottes ! J’ai trouvé ça assez particulier. Les différences, c’est sûr qu’il y en a beaucoup.
Quels sont les points forts d’un tel voyage sur notre propre culture ?
Ça m’a permis de découvrir une nouvelle façon de voir le monde, de confronter la différence. La cu l ture espagno le es t t rès différente de la nôtre. Tout semble toujours moins grave, c’est très
« smooth ». Au d é b u t , j ’ a v a i s vra iment de la difQiculté avec le r y t hme d e v i e (heures de repas, heures de sortie… sort i r à 2h du matin , ouch ! ) . Mais, à la longue, tu te rends compte qu’ i l n’y a pas s e u l e m e n t t a manière de vivre qui est bonne et q u ’ u n p e u d e changement ne fait
jamais de tort.
Aller vivre dans un autre pays nécessite une certaine préparaRon. Sur le plan culturel, comment as-‐tu dû te préparer ?
Comme c’était mon premier voyage, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Je savais que j’aurais un énorme choc culturel et je savais que je ne tripperais pas au début, mais qu’il fallait que je m’adapte. J’ai acheté un guide touristique, j’ai lu des articles, j’ai tenté de m’imprégner de la
Nom : Amélie Gourde
Âge : 21 ans
Année d’études : 3e
Destination : León, Espagne
À l’hiver dernier, une étudiante du BEILM est parRe à desRnaRon de León en Espagne. Jeune fille n’ayant jamais voyagé, Amélie s’est retrouvée dans un pays étranger, dans une culture tout à fait différente de la nôtre pour vivre une expérience hors du commun. Elle nous raconte brièvement ce voyage, qui lui a fait dépasser ses limites!
L’EspagneRoyaume d’Espagne
Langue officielle : espagnol
Capitale : Madrid
Superficie : 505 911 km2
Popula=on : 46 754 784 hab.
Monnaie : euro
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culture espagnole du mieux que je pouvais en était ici. Mais, comme j’ai dit, je n’avais aucune idée de comment j’allais me sentir à mon arrivée, à part d’être terriQiée devant l’inconnu !
Conseillerais-‐tu aux étudiants de faire un tel voyage ? Leur dirais-‐tu d’aller dans ce]e ville ou leur proposerais-‐tu ailleurs ?
Oh que oui. Je conseille totalement de faire un tel voyage ! C’est révélateur et c’est une expérience incroyable. Le seul conseil que je pourrais donner c’est de bien se préparer pour le départ, mais de laisser aller les choses rendu à destination. On ne peut pas tout prévoir et il faut avoir de la souplesse. Moi, c’est surtout ça qui me manquait au début parce que je suis une personne qui aime être en c on t rô l e e t qu i d é te s t e ê t re déstabilisée. Je sais ce que je fais et les surprises, ce n’est pas trop mon fort. En Espagne, j’ai appris à faire conQiance à la vie et aux autres. En ce qui concerne la ville, moi, j’ai adoré ! León est une petite ville, plus petite que Québec. Je viens de la campagne et c’était important pour moi de ne pas me retrouver dans une super grande ville. Les villes, j’aime les visiter, mais pas les habiter ! Je t rouva i s que c ’ é ta i t un beau c om p r om i s . C ’ e s t u n e v i l l e p ié tonnière , pas vra iment de transport en commun, mais il n’y a pas vraiment de besoin. C’est une ville méconnue par le grand public, mais elle gagne à l’être parce qu’elle a une histoire incroyable. C’est une des premières villes d’Espagne et elle a joué un rôle considérable durant les guerres napoléoniennes. Les gens sont gentils et accueillants. Le Barrio humedo (quartier historique) est merveilleux, le marché du samedi matin de la Plaza Mayor, les bars à tapas, WOW ! Le seul inconvénient que je pourrais voir est que la ville est située un peu loin des centres. Donc, si on veut aller prendre un vol à partir de Madrid avec Ryanair par exemple, il faut compter un beau 5 heures d’autobus ou 2 heures pour aller à Valladolid.
En géné ra l , ton voyage t’a-‐t-‐il plu ? E s -‐ t u r e v e n u e changée? SaRsfaite?
C’était mon premier « vrai » voyage. C’était la première fois que je prenais l’avion, première fois que je partais aussi longtemps de chez moi, une très grande première en fait ! Au début, je vais être honnête, j’ai détesté l’endroit pendant environ d eux s ema ine s . C’était trop de changement en même temps. L’administration de l’université nous compliquait la vie pour les inscriptions, je m’ennuyais de mon monde , j e n ’ a ima i s p a s mon appartement, je m’ennuyais des ép icer ies québécoises , j ’ ava is tellement peur de ne pas m’adapter... Mais Qinalement, tout a commencé à mieux aller quand j ’ai changé d’appartement. Je me suis rendu compte que je devais être un peu plus conciliante et laisser aller les choses. Je ne pouvais pas tout contrôler et c’était tant mieux aussi. J’ai rencontré des gens extraordinaires de partout, j’ai visité une très grande partie de l’Espagne (Santiago de Compostela, A Coruña, Barcelona, Madrid, Granada, Sevilla, Cordoba, Salamanca), j’ai fait d’autres petits voyages en sol européen (Londres, Paris, Berlin, Corse)… J’ai aussi découvert que j’étais TRÈS débrouillarde et que je ne cédais pas trop sous la panique. Je suis contente d’avoir découvert ça sur moi. Je m’impressionnais moi-‐même !
Aurais-‐tu quelques anecdotes à nous raconter ?
Comme on le sait, le style de vie espagnol est très différent du nôtre ! Ils vivent vraiment la nuit ! Ce sont des gens très festifs ! Et leur valeur du temps est très relative. Par exemple, les heures de cours n’étaient pas Qixes. Souvent, les professeurs arrivaient 20 minutes après l’heure prévue du début et terminaient souvent 10
minutes avant ! Aussi, tout est fermé le dimanche. Il faut prévoir d’avance ! Ah oui, les fours sont rares dans les appartements ! Et presque tout fonctionne au gaz : eau chaude, plaque de cuisson… mais, il n’y a aucun détecteur de fumée, ni de détecteur de monoxyde de carbone. Pas super sécuritaire !
Pour ce qui est des Espagnols, ils sont plutôt spéciaux dans leur manière d’approcher les Qilles… J’ai eu droit à des miaulements ! À des phrases très, très quétaines. C’est quand même très drôle ! Et je pense que je me suis fait dire au moins 250 fois : Ah, te llamas Amelie… Como la película ? Et moi de répondre avec un air un peu blasé au bout de la 200e fois : Si, si…como la película…
Peux-‐tu noter sur une échelle de 1 à 10 l’implicaRon de l’Université Laval avant ton voyage ? As-‐tu pu avoir les bonnes ressources ?
Je donnerais un beau 8/10. J’ai toujours eu des réponses claires aux questions que j’avais. Rien à redire sur le service. Par contre, je trouve que la rencontre de formation pré-‐départ n’était pas tant appropriée à tous les cas. Nous étions une quinzaine à partir en séjour d’études et on nous a présenté une vidéo sur un voyage humanitaire. Ce n’est pas vraiment le genre d’informations que je sentais devoir savoir. Plus ou moins en rapport. À part ça, tout était bien.
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AVEC LA NOUVELLE HAUSSE DES F R A I S D E S C O L A R I T É Q U I APPROCHE À GRANDS PAS, L’ABEILL A DÉCIDÉ DE METTRE SUR PIED UN COMITÉ D’INFORMATION SUR LE SUJET.
par Vincent Beaudoin• • •
AQin de respecter les opinions et de rester neutre, le comité vous transmettra de l’information qui présente les deux positions par rapport à la hausse : Pour et Contre. Pour vous mettre au parfum, voici la hausse des frais de scolarité telle que présentée dans le budget du gouvernement provincial le 17 mars 2011.
Mise en application de la Hausse : dès le semestre d’automne 2012Hausse prévue : 325$ de plus par an (cumulatif)Durée : 5 ans (dernière hausse de 325$ applicable à l’automne 2016 et hiver 2017)Augmentation totale : 1625$Gain : 850 millions de dollars de p l u s e n r evenu s p ou r l e s universités québécoises à la Qin des 5 ans. Le gouvernement assurera que les ressources additionnelles seront utilisées pour améliorer la qualité de l’enseignement et la recherche.Augmentation de l’Aide Qinancière aux études : au bout des 5 ans, l’AFE aura été augmentée de 118 millions de dollars par an.
Pour tra i ter du su jet sous Qinancement en éducation ou de la contribution étudiante, d’autres idées ont été proposées autre que la hausse des frais de scolarité.
En voici 3 :
1-‐ Impôt postuniversitaire (IPU) : Cette solution élimine les frais de scolarité lorsqu’un(e) étudiant(e) est aux études. Durant ses études, l’étudiant(e) ne paie pas ses frais de scolarité, mais lorsqu’il(elle) les termine, un impôt particulier s’applique à ses revenus jusqu’au moment ou il(elle) aura payé ses frais. C’est « un système de prêts dont le rythme de remboursement est relié au revenu ».
2-‐ Remboursement proportionnel au revenu (RPR) : Dans ce cas-‐ci, le fonctionnement est similaire à IPU, mais il s’applique aux prêts étudiants et non aux frais de scolarité. Il est parfois dit d’une hausse des frais de scolarité qu’elle réduit l'accessibilité aux études tandis que le RPR permet « [ … ] l ’ a m é l i o r a t i o n d e l ’ a c c e s s i b i l i t é a u x é t u d e s p o s t s e c o n d a i r e s p a r
l’assouplissement de la contrainte de liquidités ».
3-‐ Contribution des entreprises : Inspiré de la «loi du 1%», cette idée propose que les entreprises privées contribuent à un fonds commun qui serait utilisé pour Q i n a n c e r l ’ é d u c a t i o n postsecondaire. Fonctionnant avec des plateaux selon la grosseur de l ’entreprise, un pourcentage indiquerait ce que l’entreprise doit contr ibuer. Se lon plusieurs s c é n a r i o s e n v i s a g é s , l a contribution moyenne serait vraisemblablement de moins de 1% de la masse salariale.
La hausse des frais de scolarité est une solution aux problèmes de Qinancement dans le domaine de l'éducation. À vous de déterminer si vous êtes d'accord avec cette solution. Tenez-‐vous à l'affut du référendum de la CADEUL qui commence dès le 17 octobre.
HAUSSE DES FRAIS DE SCOLARITÉ
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HoroscopeBélierPrenez la vie par les cornes, cela vous réussira.
TaureauSi vous aidez les autres, ils vous diront merci… vous ne l’auriez jamais deviné.
GémeauxL’amour saura vous trouver si vous laissez une chance à l’amour de vous trouver.
CancerVotre entourage apprécie votre sourire et votre bonne tumeur.
LionGravir une montagne n’est jamais aussi difQicile que lorsque vous n’avez pas d’équipement, alors achetez le nécessaire et vous ne le regretterez pas.
ViergeN’attendez pas à quarante ans avant de commencer.
BalanceQuoi vous dire? Pfff, soyez ambitieux et vous réussirez si vous n’échouez pas. Ça sonne bien.
ScorpionLa lumière que vous voyez au bout du tunnel est le train qui s’en vient.
Sagi]aireEntre les devoirs et la vaisselle, vous devez avoir du temps pour vous, car l’humain ne vit pas que de travail et d’eau sale – Lao Tseu.
CapricorneVénus en alignement triozélical, avec un azimut de calibre doux, me dit que vous aurez plus de plaisir si vous ne mettez pas votre doigt sur le rond de poêle.
VerseauVous devez apprendre à tourner la page.
PoissonsSi vous avez lu tout ceci et y avez cru, vous méritez le nom de votre signe.
par Jérémie Lebel
par Jean-Philippe Duphily• • •
Perte de fierté. 3 mots qui font grincer
des dents ceux dont le nom est déjà
affiché sur la liste officielle des murs du
local de l’ABEILL. Alors que des débats
et des revendicaRons sont déjà en
cours à ce sujet, Le BuRneur se penche
sur les points non-‐négociables
entourant une telle situaRon.
1. Une 1 i e r t é ne peu t ê t re retrouvéeUne fois que votre nom est inscrit sur la liste, il est trop tard. Au moins vous ne pouvez pas perdre votre Qierté deux fois.
2. L ’ a f 1 i che o f 1 i c i e l l e dans l’ABEILL est la source of1icielle de diffusionSi votre nom n’est pas sur l’afQiche, vous êtes du bon côté de la force… jusqu’à maintenant.
3. Vous vous êtes faits prendre par les évènements du type bière à volontéVous avez les yeux plus gros que le foie.
4. Des gens ont déjà pensé appeler l’ambulance pour vous, ou l’ont déjà fait Rien à ajouter ici.
5. S’il y a litige, le club des sages tranchera
Soit le regroupement de toutes Qiertés perdues à ce jour. Ils ont le droit de veto et vous êtes totalement impuissants contre leur décision Qinale.
6. Des témoins il vous faudra pour p e r d r e v o t r e 1 i e r t é . Préférablement, des gens du bac.On peut voir ça comme une protection… ou pas!
7. Depuis la soirée fatidique, vous avez acquis une certaine notoriétéÉtrangement, tout le monde sait ce que vous avez fait… même des gens que vous ne connaissiez pas!
La perte de fierté en 7 points
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VOTRE COMITÉ JOURNAL
Publié sur une base bimensuelle, le Bu=neur a comme mandat d’informer les
étudiants du baccalauréat intégré en
études interna=onales et langues modernes sur les ini=a=ves prises au
sein de l’associa=on étudiante, ainsi que
sur des sujets d’intérêts généraux pouvant interpeller la communauté
universitaire.
INTÉRESSÉS À PARTICIPER?
L’équipe du Bu=neur est toujours à la recherche de journalistes et d’étudiants
mo=vés désirant s’impliquer dans
différentes sphères de la réalisa=on du journal. Ça vous intéresse? Communiqez-‐
avec nous :
COLLABORATEURS
Correctrice : Gabrielle Bouchard-‐Doyon
Montage : Alexandre Clément
Rédactrice en chef : Marie-‐Hélène Ratel
Merci à nos journalistes !
Mi-‐session à l'horizon. Les nuits se font plus courtes, trop courtes devrais-‐je dire. Le café coule à Qlots, jamais sufQisamment pour nos têtes qui courent un marathon sans Qin. Chacun a une date bien ancrée dans son cerveau, cette heure spéciQique où l'on respirera de nouveau, où le quotidien reprendra son cours normal. La belle réalité d'étudiant! Chacun se trouve dans la même situation : à droite les préoccupations personnelles, à gauche l'emploi à temps partiel qui demande trop d'heures. Pourquoi n'y a-‐t-‐il que 24 heures dans une journée? Bref, une bonne respiration, faites un peu de sport, prenez une marche sous la pluie pour oxygéner le cerveau, et courage... La semaine de lecture approche à grands pas. D'ici là, bonne chance dans vos travaux et examens et proQitez du congé pour refaire le plein d'énergie positive avant le dernier coup de coeur de la session!
Marie-Hélène Ratel
Mot de la rédactrice en chef
Séance d'informations pour les étudiants en première annéeMadame Julie de Blois convie les nouveaux admis du bac à une rencontre ayant pour but de présenter le cheminement du programme et ses exigences afin de vous guider dans votre choix de cours de la session dʼhiver 2012. Quelques informat ions pert inentes y seront aussi divulguées.
Mardi 8 novembre de 11h30 - 12h30, DKN-1A
Party d'Halloween officiel de l'ABEILLSoirée costumée au bar le Casa Blanca situé dans le Vieux-Québec (1169 rue Saint-Jean)C'est un rendez-vous jeudi le 27 octobre dès 21h pour célébrer la fin de la mi-session!
Jeudi 27 octobre à 21h, 1169 rue St-Jean
Fan dʼimprovisation ?Voici les horaires des ligues jouant sur le campus :Mer. 20h-22h : LIDUL, cafétéria du pav.
Alexandre-VachonJeu. 20h-22h : LIMUL, boudoir du pavillon
DesjardinsVen. 20h-22h : LUI, grand salon du pavillon
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