jardin

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DU SAMEDI

28 FÉVRIER

ET DIMANCHE

1 MARS 2015

N°179

MARIAGE TRADI-TRENDY

Natalie Portman Carnet d’adresses

Petits secrets de beauté

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édito

Comme tout le monde Barbie vieillit et séduirait moins les petites filles du XXIe siècle. D’ailleurs il semblerait qu’à Noël ce ne fut pas la ruée dans le rayon girly des magasins de jouets, de même qu’on ne se presse plus aux vantaux des églises. Le mythe mute. En Belgique on se marie de plus en plus tard et de moins en moins. La moitié des « jeunes mariés » a plus de 35 ans. Mariage plu-vieux (plus vieux), mariage heureux ? Sans doute les petites filles ont-elles perdu leurs illusions. Du berceau au bac philo. Il faut dire que du haut de ses 29 cm, la pin-up en celluloïd, plus blanche à ses débuts qu’un cachet d’aspirine en bikini, a de plus en plus de mal à imposer ses cuisses fuse-lées, sa taille de guêpe et sa poitrine avantageuse. Aujourd’hui la belle un peu nunuche a 55  ans

BARBIESE MARIE

SOMMAIRE

03 Edito04 Albert Frère06 Natalie Portman08 Un lit pour deux10 Rétro-Planning 12 Marie-Catherine le Hodey14 Jeremy Hackett16 Patrick Ipsen18 Maison du Diamant20 Didier Tollet22 Gaëlle Woodbury24 Céline Pécheux (beauté)26 Anaïs et Benoit Vano 28 Voyage de noces 30 Pêle-Mêle

(NDLR-Barbara Millicent Roberts, dite Barbie, est née le 9 mars 1959 à Willows, Wisconsin, de l’imagination de Ruth Handler) et ne s’est pas fait que des copines. Vilipendée par les féministes qui voyaient en elle un horrible petit « monstre » nar-cissique, obscène selon les ligues de vertu, les « chiennes de garde » l’ont même mise sur la liste rouge (des femmes-objets à éviter). Pour d’autres, ce bourreau de nos fantasmes, trop belle pour être vraie, est le symbole de l’impérialisme (U.S.) triomphant, sans parler de son petit penchant à la mondialisation. En une cinquantaine d’années il s’est néanmoins vendu des millions de poupées à travers le monde, plus que tout autre jouet. Raison pour laquelle Barbie figure aux côtés de la Bible et du drapeau américain dans la « Time Capsule » de

la Nasa pour témoigner de notre civilisation. Et si en toute femme sommeille une petite fille qui joue à la poupée, dans chaque mariage il y a encore ce défi de parier que cet amour-là durera toujours.

—Par Raoul Buyle

Rédacteur en chef Raoul Buyle / Rédaction :  79 rue des Francs - 1040 Bruxelles - e- mail : llb.essentielle@saipm.com / Ont colla boré à ce numéro : Raoul Buyle, Céline Pécheux, Pierre Dragomirov, Nina Van Pallandt. / Direction artistique et mise en page mpointproduction (Jonathan Prêteux) / Régie Publicitaire IPM Advertising Dominique Flamand - 02 211 31 35 - Dominique.flamand@saipm.com / Marketing et Promotion Delphine Guillaume - 02 211 31 78 delphine.guillaume@saipm.com / Directeur des ventes publici taires Emmanuel Denis / Impression IPM Press Pr int / Vice-Président du conseil d’administration et du comité permanent Patrice le Hodey/ Direction, Administrateur délégué, éditeur responsable François le Hodey

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en vue

Marié depuis bientôt 40 ans, le baron Frère est le symbole de la Belgique qui gagne. Albert Frère a réussi dans la vie parce qu’il a réussi sa vie. Il vient de fêter ses 89 ans. Et alors… Même s’il quitte la direction du groupe GBL, l’homme reste actif, plus affuté que jamais, influent. Parce que le travail, il aime ça. –Par Raoul Buyle

Il y a quelques temps, j’ai eu la chance d’inter-viewer Albert Frère pour une « gazette » estivale distribuée du côté de Knokke-Le Zoute. « C’est vrai, je ne suis pas un grand bavard devant les journalistes, avait précisé d’emblée l’un des hommes les mieux informés d’Europe. A mes yeux, la haute finance se marie mal avec la média-tisation. Quant à ma vie privée, n’en parlons même pas… ». Mais, si, parlons-en justement, car pour beaucoup de gens vous faites figure d’exemple.

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Une devise dans la vie ?Albert Frère : Travail, travail, travail ! Lorsqu’il a plu au roi Albert II de m’octroyer le titre de baron, s’est posé le choix d’une devise. Il était évident pour moi qu’elle devait faire référence au travail, à la volonté de réussir et à la continuité dans l’effort. Dans cet esprit, j’ai retenu « Amat Victo-ria Curam », ce que l’on pourrait traduire par la Victoire aime que l’on s’occupe d’elle. Rien n’est jamais acquis : il ne faut pas se reposer sur ses lauriers. De cela découle la ligne de conduite que je me suis tracée et qui peut être résumée par « travail, travail, travail ». Une formule à laquelle on fait souvent référence en ce qui me concerne. Mon outil principal : le téléphone. Ça vous amuse de travailler ? Oui. Mieux que ça, je suis convaincu qu’il faut travailler en s’amu-sant. Il me revient parfois en mémoire la chanson de Blanche Neige et les 7 nains : « Siffler en tra-vaillant, c’est la moitié du temps, etc… ». C’est souvent ainsi que cela se passe à Loverval ! Il nous arrive d’entendre un air joyeux qui vient du bureau de Gilles Samyn ou de celui de mon fils Gérald. Ce qui n’exclut aucunement le plus grand sérieux dans l’exécution de leurs obliga-tions professionnelles. En ce qui me concerne,

le travail ne m’a jamais été une contrainte, que du contraire. Et j’ai essayé qu’il en soit ainsi pour ceux qui œuvrent à mes côtés en laissant le plus souvent possible un espace à la détente, à la bonne humeur. Le rire n’est-il pas le propre de l’homme ?Le don de la nature que vous auriez aimé avoir ? Le sens de la musique et, plus particu-lièrement, de la musique classique. Je suis plein d’admiration pour les musiciens, qu’ils soient compositeurs, virtuoses ou interprètes. Com-ment, avec quelques notes, parviennent-ils à transmettre des émotions, des sentiments, des climats tellement différents ? Cela m’impres-sionne beaucoup. Et aussi, le travail, l’entraî-nement quotidien que cela représente, pour atteindre – parfois – une perfection quasi divine.Votre occupation préférée ? La gestion de mes affaires occupe, encore et toujours, une partie importante de mon temps mais il laisse une place grandissante à mes autres passions : le vin, bien sûr. L’œnologie fait depuis des années l’objet de nombreuses lectures, suivies d’expé-riences pratiques qui m’ont permis de découvrir, à chaque fois avec le même plaisir, un terroir, un cru, un millésime. Comme chacun d’eux a sa spécificité, c’est un univers d’exploration infini. Si nous y ajoutons la gastronomie, elle aussi ter-reau fertile en recherche de saveurs nouvelles, vous aurez le portrait d’un épicurien qui se flatte de l’être. Enfin, si le sport a toujours occupé une place importante dans mes activités, il la garde encore grâce au golf. Pourquoi le golf ? Le golf est une leçon de modestie permanente. Lorsqu’on croit y être arrivé, le lendemain rien ne va plus et il faut repar-tir à zéro ! J’aime jouer en solitaire, au Royal Zoute Golf Club, avec mon fidèle caddie Roland. Il m’apprend le flamand et nous nous comprenons finalement très bien dans une langue qui nous est personnelle, mélange de français, de wallon et de dialecte flandrien !Qu’avez-vous réussi le mieux dans votre vie ? Ma famille. Mes amis. J’ai toujours essayé de créer autour de moi un climat convivial et amitieux mais, parfois, étant trop pris par mon travail, certaines relations en sont restées à un niveau un peu superficiel malgré des affinités évidentes. Mainte-nant, avec le recul de l’âge, je peux me consacrer à mon cercle d’amis qui s’agrandit encore tous les jours. L’amitié, c’est un échange qui demande une grande générosité de cœur, une écoute attentive, une présence dans les moments difficiles et une fidélité à toute épreuve. Elle se cultive avec soin et j’espère être un bon jardinier.Ce que vous appréciez le plus chez vos amis ? La sincérité et l’humour.Votre héros dans la fiction ? Le Capitaine Haddock. Il a plein de défauts mais c’est le per-sonnage le plus humain créé par Hergé. Et puis, il est fidèle en amitié. Et dans la vie réelle ? Napoléon. Il avait une vision de l’Europe – dont certains éléments peuvent être contestables – mais il n’a pas œuvré dans la médiocrité et l’influence qu’il a exercée sur son temps est encore, aujourd’hui, très présente dans beaucoup de domaines de la vie publique et même privée.Ce que vous voudriez être ? Ce que je suis.Le pays où vous désireriez vivre ? La Belgique.Comment aimeriez-vous mourir ? Dans mon lit, en ne me réveillant pas.Et, s’il existe, qu’aimeriez-vous que Dieu vous dise ? Qu’il nous protège, ma famille et moi.

Noces

d’emeraudeBaron Albert Frère et son épouse, Christine

N’ayez plus peur qu’elle dise non…

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saga

Dites-nous…Anton CorbijnA propos des femmes… La plupart de vos personnages sont des hommes très intenses. Les femmes sont en arrière-plan et pourtant vous les filmez avec beaucoup de délicatesse aussi. Vous filmez Natalie Portman de la même manière, en allant chercher des choses subtiles. A quand un film sur une femme ? Anton Corbijn : (Sourire) Pas le prochain en tout cas. A nouveau, c’est un film sur un homme. Peut-être est-ce parce que je suis un homme ? C’est plus facile… Mais vous devriez vraiment faire un film sur une femme ! J’aimerais beaucoup ! Il y a tellement d’actrices formidables avec qui j’aimerais travailler comme Robin Wright par exemple. Mon prochain film parle de la relation entre James Dean et Dennis Stock, le photographe du magazine Life. Le film s’arrête juste avant la sortie du film “East of Eden” qui a rendu James Dean célèbre dans le monde entier. Revenons à Miss Dior. Ce parfum a été inspiré à Christian Dior par sa soeur Catherine qui a été une résistante et qui a survécu à la déportation. Lorsque Christian Dior disait vouloir rendre les femmes heureuses, ce n’était pas rien. « Bonheur » n’était pas un mot vide pour lui. Je ne connaissais pas cette histoire. C’est encore mieux comme ça… Le mot « bonheur » est trop souvent galvaudé. Comme un état d’esprit exagéré. Pour beaucoup de gens, cela signifie qu’on ne veut se préoccuper de rien. Pour moi, c’est tout le contraire. Le bonheur est un état d’esprit vers lequel je dois me diriger tout en souhaitant au fond de moi ne jamais arriver vraiment à destination.

CoMME

Au CINéMALa saga Miss Dior continue. Et Natalie Portman incarne toujours une mariée au caractère bien trempé pour la prestigieuse Maison parisienne. Filmée par Anton Corbijn, la Miss est sublime d’intensité et de désinvolture. Comme le parfum qu’elle représente.–Par Raoul Buyle

It’s miss, actually ! (C’est mademoiselle, en fait ! ) Après des semaines de teasing et la publication du faire-part officiel, Dior dévoile enfin le nouveau film Miss Dior. Il a été réalisé par le réalisateur (néerlandais) Anton Corbijn, et met en scène l’égérie des parfums Miss Dior, Natalie Portman. Mariée radieuse mais hésitante, bouquet de fleurs à la main, l’actrice s’avance vers l’autel escortée par son père, et l’abandonne devant les invités de la cérémonie. Natalie s’enfuit, se débarrasse successivement de ses souliers, de son bouquet de muguet, de sa robe blanche…et grimpe à bord d’un hélico. Direction Paris. Pour y retrouver son amoureux, le vrai. Un mini film qui alterne couleur et noir et

blanc, sur fond (musical) de « Piece of my heart » par Janis Joplin. Selon Anton Corbijn, réalisateur célèbre et photographe esthète de la New Wave, « c’est l’histoire d’une femme singulière, belle et inspirante qui a l’audace de franchir le pas, de s’approprier un futur qui sera pleinement le sien ». Encore une fois, Natalie rayonne devant la caméra, que ce soit dans sa robe de mariée ou dans la robe noire plus sexy qu’elle porte quand elle s’évade. Mais elle doute aussi et finit par fuir une réalité dont elle ne veut pas. L’actrice américaine joue la partition (nouvelle) d’une sensualité mêlée d’interrogations qui lui va si bien. Pour la cinquième année consécutive, elle est l’égérie de ce parfum devenu mythique. Miss Dior a-t-elle plusieurs visages ? « Oui, répond Natalie Portman. Miss Dior a les visages multiples d’une amoureuse idéalisée. C’est un personnage à interpréter à part entière. Ce dernier film publicitaire l’incarne d’ailleurs dans une diversité émotionnelle propre au sentiment amoureux : le rire et l’intensité, le jeu comme la gravité, la légèreté et l’osmose. » Le parfum « Miss Dior » a-t-il évolué ? Il a gagné en profondeur et en sensualité. Comme si sa féminité s’était affirmée sans perdre de sa fraîcheur. Un parfum comme Miss Dior a une âme. Élégante, joueuse, amoureuse.

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Les Amoureux de BoucheronPremier Joaillier de la place Vendôme,

Boucheron est le témoin depuis plus de 150 ans de grandes histoires

d’amour et plus particulièrement le con� dent privilégié de toutes les femmes passionnées. La marque utilise son plus précieux savoir-faire pour créer solitaires et anneaux somptueux a� n de célébrer l’un des plus beaux jours de la vie d’un homme et une femme, le mariage.

Que les bijoux proposés par Boucheron soient les plus solennels ou les plus opulents, ils sont tous d’une qualité irréprochable et d’un goût sûr. Ils permettent de commencer une histoire « à marquer d’une pierre blanche » avec l’être aimé comme avec la marque, empreinte d’un prestige reconnu. Chaque collection puise dans la mémoire et les valeurs de la Maison, pour faire jaillir l’intensité d’une

modernité sans cesse réinventée. Chaque bijou sculpte la matière pour sublimer le chatoiement de ses pierres exceptionnelles.

Plusieurs modèles mixtes sont disponibles, telles des alliances de la collection Quatre, Epure, Facette, Godron et Pointe de Diamant.

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SOLITAIRE SERPENT BOHEMESolitaire serti d’un dia-mant rond, sur or blanc

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sociologie

Quel bonheur, la nuit venue, de se réfugier dans son lit ! À deux c’est encore mieux… Quoique. Le lit (conjugal) ordinaire, celui de la détente et du sommeil, pose une des plus grandes ques-tions de notre époque : entre le grand rêve de l’amour partagé et l’aspiration au bien-être per-sonnel, notre cœur balance. Passée le temps (compté) de la passion, celui ou celle qui chaque soir se couche à la même place peut se révéler un redoutable ronfleur, un lutteur sournois jamais fatigué de tirer la couverture à lui ou, pire encore, un monstre aux pieds froids. Dans « Un lit pour deux », Jean-Claude Kaufmann relève la portée symbolique de nos habitudes nocturnes, tel le délicat choix de la chambre séparée.Faire chambre à part, ça veut forcément dire que le couple va mal ?Jean-Claude Kaufmann : Peu de gens optent pour des chambres séparées lorsque leur couple va moins bien, bien que les deux partenaires décident à ce moment-là, de prendre un peu de distance. Mais dans la plupart des cas, dans ce petit « théâtre » du lit, les choses sont beaucoup plus simples, il y a celui qui tient le rôle du bon dormeur et celui du petit dormeur. Et lorsque ce dernier voit son sommeil perturbé par celui

Chambres séparées Avant d’en arriver là, il y a tout un arsenal d’étapes intermédiaires. Ça va des bouchons d’oreilles à un lit plus grand, ou encore de faire couette à part, « enroulés comme des nems ».

La fidéLité, une vaLeur essentieLLe ? Oui. Et c’est un peu surprenant, dans une société de séduction généralisée et de légèreté par rapport aux mœurs. L’exigence de fidélité reste très forte, car il existe un contrat moral avec le partenaire, fondateur du couple.

Le désir de durer Il est toujours aussi profondément ancré, en dépit des apparences. C’est clair, personne ne dit : je vais entrer en couple en CDD. On sait qu’on ne sera peut-être ensemble à tout jamais, mais le rêve reste que ce soit le plus longtemps possible.

qui dort comme un bébé, cela peut susciter des tensions. Dans les témoignages que j’ai reçus, des couples expliquent que faire chambre à part, c’était pour eux le moyen de sauver leur couple.Pourtant, longtemps, le lit conjugal fut le lieu consacré des moments essentiels d’une vie. On y naissait, on y mourait entouré des siens. Révèle-t-il aujourd’hui les attentes contradictoires du couple qui aspire à un bien-être personnel sans renoncer pour autant à l’amour fusionnel ? Au début, on rêve de ne faire qu’un avec l’être aimé. Puis l’individu refait surface, songe à son confort, commence à installer ses marques. Mais, comme dans tous les lieux d’in-timité rapprochée (voiture, table du repas…), dormir à deux implique un contrôle de soi. Au tout début, on rêve de ne faire qu’un avec l’être aimé. Puis cha-cun découvre qu’il habite un côté du lit, toujours le même, souvent pour la vie, même en l’absence de l’autre – parfois après séparation ! Le tout est de trouver la bonne distance. Dites-moi comment vous dormez, je vous dirai comment va votre couple ? Pas si simple. Certes, le lit est un révélateur de l’état du couple ainsi que des évolutions conjugales. C’est aussi le lieu de la confrontation permanente entre

Sommes-nous vraiment faits pour dormir ensemble. C’est en gros la question que se pose Jean-Paul Kaufmann. En scrutant l’intimité du couple, sa spécialité, le sociologue se glisse sous la couette et nous invite à décrypter les failles du « grand rêve de l’amour partagé ». —Par Pierre Dragomirov

un désir d’intimité amoureuse et l’aspiration au bien-être personnel. Cette contradiction entre des aspirations différentes se joue dans tous les espaces, et demande des ajustements perma-nents. Où mieux l’observer que dans le lit, lieu de la proximité qui s’oppose au désir de confort ?Le fait de dormir dans des chambres sépa-rées gagne-t-il du terrain ? L’une de mes sur-prises, dans cette enquête, a été de constater que les femmes sont massivement à l’origine de cette demande de chambre séparée. Pourtant, elles sont traditionnellement plus investies dans le domaine conjugal et familial. Elles y mettent plus d’énergie, placent la barre plus haute dans cet engagement que les hommes, qui conservent un certain détachement. Mais sous leur impul-sion, il semble que la chambre séparée soit en voie de banalisation chez les couples qui ont passé la cinquantaine. Cela se produit après un certain nombre d’années de vie commune, alors que les agacements et petits inconforts se mul-tiplient, et que le départ des enfants libère une chambre.

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A lire : « Un lit pour deux. La tendre guerre » de Jean-Claude Kaufmann, aux Editions JC Lattès ; 2015

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rétro planning

J-12 MOIS : L’ENDROITEn Belgique ou à l’étranger, la date de la cérémo-nie est souvent défi nie en fonction des disponibi-lités du lieu convoité. Du coup on s’y prend long-temps à l’avance, minimum un an, pour réserver l’endroit et on s’assure que les cérémonies civile et religieuse pourront avoir lieu à la date prévue. Les it-endroits du moment : La Nonciature au Sablon (www.nonciature.com) et les serres du domaine de Béronsart à Gesves (www.domainedeberonsart.be), sans oublier les tentes organiques pour un joli mariage à l’ex-térieur (www.organic-concept.com) ; on aime aussi l’ambiance cistercienne de l’Abbaye de Nizelle (www.abbayedenizelle.be)

J-9 MOIS : LA ROBEEntre le choix du modèle, du tissu, les essayages, les retouches, il faut compter six à neuf mois pour une robe couture ou sur mesure. Pour les plus téméraires, on achète la robe de ses rêves à petit prix sur Asos (www.asos.com), chez Sessun ou chez H&M, et on la fait retoucher si néces-saire. Pour les plus trendy, on se laisse séduire par les très beaux modèles des créatrices en vogue comme Valentine Avoh, Marie-Catherine le Hodey, Stéphanie le Grelle, sans oublier les

LA“I-DO” LISTE

Un mariage cocoonen hiver ou sous une tonnelle en été ? Nous vous avons préparé un programme complet, dicté par les experts en la matière, pour arriver à la Commune zen et belle comme le jour J.–Par Céline Pécheux

stars parisiennes comme Rime Arodaky, Delphine Manivet ou notre chouchoute, Laure de Sagazan. Nos boutiques favorites : Love, Sweet, Ect. (www.lovesweetetc.com) et Mlle C à Liège (www.mlle-c.be)

J-8 MOIS : LA LISTEVirtuelle et ultra connectée, la liste de mariage sur Internet permet de piocher des cadeaux dans des e-boutiques partenaires sans bouger de son canapé ou de rapatrier la totalité des dons direc-tement sur notre compte. Après le mariage, on consulte le solde de sa liste depuis son iPhone avec appli dédiée… et le tour est joué ! Notre site favori : www.Fleurdelyst.be. Particularité : le montant reçu peut être directement versé sur un compte bancaire. Une liberté totale qui permet à ce site de se démarquer de ses concurrentes du Web, surtout à une époque où de nombreux couples cohabitent avant de s’unir offi ciellement. Le site où centraliser toutes nos envies : www.fl eurdelyst.be

J-7 MOIS : LES INVITATIONSQue ce soit sous la forme d’un petit fi lm humo-ristique posté sur Youtube ou d’un événement sur Facebook, le Save the date, c’est le nouveau

faire-part ! Après ça, on crée un blog entièrement consacré à son événement pour tenir les invités au courant des préparatifs en temps réel (www.petit-mariage-entre-amis.fr). Et pour les incondi-tionnels des cartons d’invitation, on fait confi ance aux idées créatives et personnalisées d’un(e) graphiste expérimenté(e).Les graphistes qui « cartonnent » : Aurélie Coene (www.studiofi ftyfi fty.be), Line Gode-froid (www.linegodefroid.com) ou encore Rosy Wood (www.rosywood.be)

J-6 MOIS : LA DÉCO Pour réduire son budget ou simplement pour avoir la fi erté de clamer « c’est moi qui l’ai fait ! », on mise sur le home made wedding. En matière de déco, les meilleures astuces sont à chiner sur les sites comme pimpyourwedding.blogspot.be et www.desideespourunjolimariage.com, ou encore les sites de vente en ligne : www.sous-le-lampion.com, www.petit-mariage-entre-amis.fr et www.baldefamille.com. Les plus chouettes adresses de location de déco : La boutique de location de mobilier rétro Yapstock (www.yapstock.be) et le site de location de vaisselle romantique Ma Belle Vaisselle (www.mabellevaisselle.be).

J-12 MOISJ-12 MOIS : L’ENDROITJ-12 MOISJ-12 MOIS : L’ENDROITEn Belgique ou à l’étranger, la date de la cérémo-J-12 MOISEn Belgique ou à l’étranger, la date de la cérémo-nie est souvent défi nie en fonction des disponibi-J-12 MOISnie est souvent défi nie en fonction des disponibi-lités du lieu convoité. Du coup on s’y prend long-J-12 MOISlités du lieu convoité. Du coup on s’y prend long-

J-9 MOISJ-9 MOIS : LA ROBEJ-9 MOISJ-9 MOIS : LA ROBEEntre le choix du modèle, du tissu, les essayages, J-9 MOISEntre le choix du modèle, du tissu, les essayages, les retouches, il faut compter six à neuf mois pour J-9 MOISles retouches, il faut compter six à neuf mois pour une robe couture ou sur mesure. Pour les plus J-9 MOISune robe couture ou sur mesure. Pour les plus

J-8 MOISJ-8 MOIS : LA LISTEJ-8 MOISJ-8 MOIS : LA LISTEVirtuelle et ultra connectée, la liste de mariage J-8 MOISVirtuelle et ultra connectée, la liste de mariage sur Internet permet de piocher des cadeaux dans J-8 MOISsur Internet permet de piocher des cadeaux dans des e-boutiques partenaires sans bouger de son J-8 MOISdes e-boutiques partenaires sans bouger de son

J-7 MOISJ-7 MOIS : LES INVITATIONSJ-7 MOISJ-7 MOIS : LES INVITATIONSQue ce soit sous la forme d’un petit fi lm humo-J-7 MOISQue ce soit sous la forme d’un petit fi lm humo-ristique posté sur Youtube ou d’un événement J-7 MOISristique posté sur Youtube ou d’un événement sur Facebook, le Save the date, c’est le nouveau J-7 MOISsur Facebook, le Save the date, c’est le nouveau

J-6 MOISJ-6 MOIS : LA DÉCO J-6 MOISJ-6 MOIS : LA DÉCO Pour réduire son budget ou simplement pour J-6 MOISPour réduire son budget ou simplement pour avoir la fi erté de clamer « c’est moi qui l’ai fait ! », J-6 MOISavoir la fi erté de clamer « c’est moi qui l’ai fait ! », on mise sur le home made wedding. En matière J-6 MOISon mise sur le home made wedding. En matière

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J-3 MOIS

rétro planning1. Lila by Lila

2. Sharing Box

3. Mariage Vintage

4. Les cupcake s d’Emilie

5. La Nonciature au Sablon

6. Ambiance Tradi-Trendy

7. Déco Yapstock

8. Laure de Sagazan

J-5 MOIS : LES PHOTOSPour choisir le bon photographe, il faut d’abord analyser son style. Photos posées avec origina-lité ou clichés pris sur le vif, il y en a pour tous les goûts ! Notre chouchou ? Le jeune photographe bruxellois Thomas Vanden Driessche (www.stu-diofi ftyfi fty.be) qui fait de chaque reportage de mariage un souvenir plein d’humour et de sponta-néité. Original : la photo de mariage….sous l’eau. Dans une piscine, dans un bassin de natation, dans la mer (à condition que l’eau soit limpide). C’est la spécialité du photographe Guy Schotte, qui ne manque pas d’idées pour immortaliser ce « grand jour ». Prévoir une robe de rechange… (www.guyschotte.be)

J-4 MOIS : LE BOUQUETAttention ! Les fl eurs ont leur langage. Le jour J, ne les laissez pas dire n’importe quoi. Les fl eurs en cascade s’assortissent aux robes à longue traîne. Plus traditionnel, le bouquet rond accom-pagne bien les ambiances bohèmes. A choisir avec précaution : le camélia blanc (amour dédai-gné), le crocus rouge (j’ai peur de vous aimer), le pétunia (obstacle), la renoncule (reproche), la rose jaune (infi délité). Pour choisir le bouquet parfait : on écoute

attentivement les conseils avisés de la (jolie) décoratrice fl orale Valentine Dormal (www.valentinedormal.be)

J-3 MOIS : LES ALLIANCESPour des alliances personnalisées et sur mesure, on fait confi ance à des créateurs belges experts en la matière comme Dorothée de Jonghe d’Ar-doye (www.dardoye.com) ou encore NimZu (www.nimzu.be) Pour trouver la perle rare en quelques clics : le site de La Maison Du Diamant propose d’une manière claire et didactique les plus beaux modèles du genre, de l’anneau en or blanc à la création haute couture signée Bou-cheron. (www.lamaisondudiamant.com)

J-2 MOIS : LE GÂTEAUParce qu’on aime ce qui est à la mode, on zappe l’option « pièce montée » et on opte pour un buf-fet de desserts avec toutes nos pâtisseries pré-férées ou un « bar à bonbons » à la fi n du dîner. Autre option : les « coutures cakes ». Blanc nei-geux, rose dragée, jaune berlingot, bleu ciel, ils sont les nouvelles coqueluches de la pâtisserie glossy. Un cake moelleux, fourré de ganache, étagé sur plusieurs niveaux, surmonté d’un

savoureux glaçage, de papillons et fl eurs en pâte à sucre, de perles (en sucre) et de crème fouet-tée ton-sur-ton. Aussi beaux que bons ! Nos coups de cœur au rayon « it-cakes » : les « Pop cakes » colorés et personnalisables à l’envi de Tranches de Cake (www.tranches-decake.be) et les créations olé olé d’Emilie (www.lescupcakesdemilie.be) ; les Couture Cakes de Olivia Roemaet alias Lila by Lila (www.lilabylila.com)

J-1 MOIS : LE RÉGIME ZENPlus qu’un mois avant le grand « Oui » et le stress nous réveille la nuit… Il est temps de se faire un mental de maître Yogi ! Pour booster son énergie, avoir un teint de rose et une taille de guêpe, rien de tel qu’un régime détox. A partir d’aujourd’hui, on s’équipe de hits apaisants comme le Rescue de Fleurs de Bach, à vaporiser sur la langue et on soigne son assiette pour un meilleur sommeil. Au menu : des aliments riches en magné-sium et vitamine B6 (salade romaine, céleri, carotte, épinards ou saumon).

CLIC, CLAC, MERCI POUR LA PHOTO !Inattendu. On loue la Sharing Box, un photomaton nouvelle génération qui envoie par mail à chacun des invités leurs clichés pris pendant la soirée. L’idée ? Une borne photos interactive qui amuse, anime et focalise tous les regards. Idéal pour immortaliser les plus beaux moments de la noce, car ce « photobooth » (personna-lisable) se place où vous voulez. Fini les photos guindées, laissez vos invités, face à la sharing box, capturer (eux-mêmes) ces moments de fun et de complicité. Une alternative originale (et exclusive) au traditionnel livre d’or. www.sharingbox.be

MARIAGES RÉTROUn blog fantastique dédié à celles et ceux qui rêvent d’une cérémonie vintage. Photos de mariage en noir et blanc, liens vers les bons prestataires, do it yourself en déco, arrangements fl oraux et accessoires, décors façon club de jazz, ambiance cabaret parisien ou pique-nique bohème, la source est inépuisable. Des adresses sélectionnées avec soin et plein d’idées à exploiter. Pour la musique : le Cookies And Cream Band ! Un band anversois façon Blues Brothers ; ils chantent en live, reprennent des standards, ils sont canon… et ils mettent le feu. www.mariages-retro.blogspot.comhttp ://cookiesandcream.be/

J-5 MOISJ-5 MOIS : LES PHOTOSJ-5 MOISJ-5 MOIS : LES PHOTOSPour choisir le bon photographe, il faut d’abord J-5 MOISPour choisir le bon photographe, il faut d’abord analyser son style. Photos posées avec origina-J-5 MOISanalyser son style. Photos posées avec origina-lité ou clichés pris sur le vif, il y en a pour tous les J-5 MOISlité ou clichés pris sur le vif, il y en a pour tous les

J-4 MOISJ-4 MOIS : LE BOUQUETJ-4 MOISJ-4 MOIS : LE BOUQUETAttention ! Les fl eurs ont leur langage. Le jour J, J-4 MOISAttention ! Les fl eurs ont leur langage. Le jour J, ne les laissez pas dire n’importe quoi. Les fl eurs J-4 MOISne les laissez pas dire n’importe quoi. Les fl eurs en cascade s’assortissent aux robes à longue J-4 MOISen cascade s’assortissent aux robes à longue J-2 MOISJ-2 MOIS : LE GÂTEAUJ-2 MOISJ-2 MOIS : LE GÂTEAU

Parce qu’on aime ce qui est à la mode, on zappe J-2 MOISParce qu’on aime ce qui est à la mode, on zappe l’option « pièce montée » et on opte pour un buf-J-2 MOISl’option « pièce montée » et on opte pour un buf-fet de desserts avec toutes nos pâtisseries pré-J-2 MOISfet de desserts avec toutes nos pâtisseries pré-

J-1 MOISJ-1 MOIS : LE RÉGIME ZENJ-1 MOISJ-1 MOIS : LE RÉGIME ZENPlus qu’un mois avant le grand « Oui » et le stress J-1 MOISPlus qu’un mois avant le grand « Oui » et le stress nous réveille la nuit… Il est temps de se faire un J-1 MOISnous réveille la nuit… Il est temps de se faire un mental de maître Yogi ! Pour booster son énergie, J-1 MOISmental de maître Yogi ! Pour booster son énergie,

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LES BONNES ADRESSES DE MARIE-CATHERINE

WEDDING-PLANNING Créative, dynamique, enthousiaste, Elodie Wilmès vous aide et vous accompagne pour réaliser et organiser votre mariage, en tout ou en partie. J’aime sa poésie, sa simplicité chic, son gôut pour la nature. www.lovetralala.com

> PHOTOGRAPHE Je travaille régulièrement avec Elodie Deceuninck qui shoote la plupart de mes col-lections. C’est également une excellente « reporter » pour le jour de votre mariage. J’aime la douceur de ses prises de vue et l’originalité de son coup d’œil ; elle propose aussi des photos spéciales pour « enterrement de vie de jeune fi lle ». Des photos pleines de vie et de gaieté ! www.elodiedeceuninck.com

> INVITATIONS Je conseille le Studio Fifty Fifty qui fait à la fois de la photographie et du

design graphique. J’adore leur style artistique et épuré, leur travail, entre ombre et lumière, dans leur photo est tout simplement magique. www.studiofi ftyfi fty.be

> UN LIEU Le Domaine de Béronsart. Ma meilleure amie s’est mariée là-bas et c’était juste fabuleux ! Les serres du domaine apportent un charme fou et le parc

est bucolique et romantique à souhait. www.domainedeberonsart.be

> MAKE-UP Pour mes shootings, je travaille réguliè-rement avec Auriane de Hulst. Elle a l’art de mettre les femmes en beauté, avec naturel. J’aime aussi le travail de Anouchka de Bellefroid, ex mannequin. Mieux que quiconque elle connait l’art et la manière de nous rendre rayonnante, chacune à notre manière selon notre âge, notre style et nos goûts personnels.www.aurianedehulst.be www.anouchkadebellefroid.be

> COIFFURE Maria pour R-Club. Son expérience est impressionnante, que l’on préfère un chignon sage, un « coiffé décoiffé » plus

romantique ou une tresse plus sophisti-quée. Il y a aussi les fameux chignons de Jean D. Un grand monsieur de la coiffure ; il m’a toujours coiffée pour tous les évènements importants de ma vie. Un œil infaillible pour les plus petits détails qui fait la différence. Dans son salon, on se sent comme une princesse.www.rclub.be - www.facebook.com/JeanDcoiffure

> CHAMPAGNELe champagne Croix D’Irval est une vraie découverte. Un champagne Premier Cru, de jolies bulles pour une jolie fête ! Si vous faite un petit tour en Champagne, n’hésitez pas à rencontrer Jean Servagnat, un vrai passionné. Le meilleur rapport qualité/prix, dixit mon père, un connaisseur. www.croixdirval.com

talent

Marie-Catherine le Hodey

Un déjeuner sur l’herbe, des enfants pas déguisés, des invités chics mais pas guindés, des mariés sublimes de simplicité et une immense promesse de bonheur ! Voilà comment la créatrice Marie-Catherine le Hodey conçoit cette belle journée. –Par Raoul Buyle

Elle fait des robes exquises. Ni trop classiques, ni trop dévoilées. Du blanc évidemment, du satin, du tulle, de la dentelle, forcément. Mais avec un je-ne-sais-quoi de décalé et de non convention-nel. « Mon rôle, précise Marie-Catherine le Hodey, est de transposer en couture les rêves des jeunes femmes qui viennent me voir. Et réaliser des robes qui racontent des histoires à la fois heureuses et gaies. J’ai toujours aimé les contes de fée et je l’assume ! Et je ne m’ennuie jamais à ne faire que des robes de mariée. Bien au contraire… » Pour le grand jour, elle marie romantisme et espiègle-rie, pile poil dans l’air du temps. Allergique aux « robes meringue », la créatrice propose un style « tradi-trendy », entièrement sur mesure…et pas ruineux pour autant. Sa propre robe de mariée ? « Romantique mais pas froufroutante. Une robe à fi nes bretelles avec un corsage de tulle invisible

rebrodé de fl eurs de dentelle. Dans le bas, plu-sieurs « étages » de tulle. Et je portais un long voile brodé d’un large bord en dentelle. »

TENDANCE 2015Se marier sans ressembler à une meringue, mais si, c’est possible ! Cette année, Marie-Cathe-rine donne du mouvement et de la fl uidité à ses robes de mariée. Des robes coupées plus près du corps, mais aussi des robes taille basse d’inspi-ration Années 20, fl oues voire blousantes, qui pri-vilégient la soie dans tous ses états, mousseline, crêpe, tulle, organdi…et la dentelle pour un côté sexy mais pas trop. La créatrice privilégie aussi les compositions jupe/top tellement plus faciles à porter pendant…et après le mariage. Certaines font même faire plusieurs tops, pour pouvoir se changer entre la cérémonie et la soirée. Recycler sa robe de mariée, ça se fait ? Bien sûr. Plus le modèle est simple, plus c’est facile. Longue avec un dos nu, on la raccourcit et elle devient une jolie robe estivale de cocktail. Si vous faites le choix du voile, prenez-le court (cela affi ne la silhouette) ou portez-le « à la pirate », comme dans les années 20, en dentelle très fi ne, cintré d’une simple petite couronne en fl eurs d’oranger ou d’un headband précieux. Le prix d’une robe de rêve ? A partir de 2000 euros. Un prix qui varie, bien sûr, selon le modèle, la qualité du tissu, la présence ou non de broderies. www.mariecatherinelehodey.be

Déjeuner sur l’herbe ;

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Robe « Rose » ; Création Marie-Catherine le Hodey

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black tie

1979, Portobello Road. C’est ici, au cœur de Nothing Hill, à Londres, que Jeremy Hackett et Ashley Lloyd-Jenning se sont rencontrés. Ils chinaient dans le plus grand marché aux puces du monde à la recherche de vestes vintage en tweed. Quatre ans plus tard, ils ouvrent leur première boutique sur New Kings Road où ils vendent des vêtements pour hommes et des accessoires chinés dans les vides greniers. Leur truc à eux, c’est la tradition, le fameux British Way of Life. Objectif : gagner la clientèle huppée de Londres. Autrement dit, sortir du vêtement traditionnel et réussir dans le style « very bri-tain ». Avec l’affl ux de clientèle, Jeremy et Ashley planchent sur la création de vêtements neufs réalisés à partir de laines nobles, tout en res-pectant le savoir-faire traditionnel. En esthètes exigeants, ils veulent une production made in England. En 1992, Hackett ouvre une boutique sur Sloane Street. Très inspiré par ce qui se fai-sait du côté de Savile Row, la Mecque du cos-tume sur mesure à Londres, Jeremy Hackett pro-pose aussi bien un prêt-à-porter classique que des habits de cérémonie, du sportswear, des boutons de manchettes en émail, des caleçons et des bretelles.

SPORT ET TRADITION L’élégance d’aujourd’hui, précise Jeremy Hac-kett, c’est celle d’il y a une cinquantaine d’années devenue plus confortable et moins conformiste. » Il aime les costumes en fl anelle taillés dans la plus pure tradition britannique : veste longue, un

MY TAILOR IS RICH

peu évasée du bas, assez marquée à la taille, une épaule à peine « construite », quatre boutons à la manchette, quatre poches dont une poche-mou-choir à la poitrine, deux poches à rabat au niveau des hanches et la fameuse poche-ticket à droite. Ici, confort et perfection sont les règles d’or de l’élégance, avec ce je-ne-sais-quoi d’excentricité en plus qui fait la différence. Surfant sur son succès, Hackett décide de renouveler son ves-tiaire à chaque sai-son, dans le style des Gentlemen’s club, jouant sur les styles et les cou-leurs, à l’instar de la ligne de polos sportswear. Asso-cié au monde du sport (polo, rugby, aviron), Hackett est d’ailleurs devenu fournisseur offi ciel des uniformes de l’équipe anglaise de rugby et a choisi comme ambassadeur Johnny Wilkinson, le buteur de l’équipe, une star dans son pays. Pendant 10 ans, la marque a également spon-sorisé Williams Fox-Pitt, cavalier olympique de concours complet qui compte à son palmarès une médaille d’or aux championnats d’Europe. Et s’est attaché à développer ce lien en s’inté-

Des tweeds qu’il dénichait aux puces de Portobello Road à la griffe qu’il appose sur ses jaquettes en fl anelle, Jeremy Hackett revendique depuisplus de 30 ans une élégance intemporelle.Rencontre avec un Anglais indémodable.–par Pierre Dragomirov

Jeremy Hackett

ressant aux Championnats de Polo afi n de pro-mouvoir ce sport (assez élitiste, avouons-le) et les élégants jeunes cavaliers qui y participent. A découvrir : la ligne Aston Martin Racing qui com-porte des blousons classiques en cuir, des pulls en laine à mailles fi nes et un assortiment complet de bagages et accessoires.

Aujourd’hui, Jeremy H acke t t r e s te totalement impli-qué dans l’entre-prise (même s’il a laissé sa ges-tion à quelqu’un d ’aut re depuis que la marque est passée dans le giron du groupe Richemont). Et il se passe rare-ment une semaine sans qu’on puisse le trouver occupé à servir un client dans l’une des

boutiques. A ses heures perdues il chine encore du côté de Nothing Hill à la recherche d’étoffes de qualité et d’objets vintage. Sans doute sa capacité innée à repérer les vêtements et accessoires qui se vendront le mieux est-elle un facteur clé de la réussite de la marque

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Quelques carats d’émotion…

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en pratique

Aux Etats-Unis, il est de coutume, presque obli-gatoire, de confier l’organisation de son mariage à un wedding planner. C’est l’assurance d’un mariage sans stress qui en jette. Alors pourquoi se compliquer la vie quand on peut déléguer à un pro tous les petits tracas de l’organisation des festivités. Des prestations, de classique au plus fou, en passant par des fêtes chaleureuses, étin-celantes, extravagante ou à cheval sur l’étiquette, rien n’est trop beau pour le grand jour ! Avec une dizaine de mariages à son actif et pas un couac - dont celui d’un vrai prince belge, celui d’un homme d’affaires (forcément pressé) sur une plage à Saint-Tropez et le sien organisé dans un ancien « hangar à patates » à Knokke-Le Zoute – Patrick Ipsen (à la tête de la société Yes by PLB Consult) est là pour vous permettre de profiter au maximum de ce moment précieux…sans y penser. Il se consacre corps et âme à la satisfaction de vos désirs. Pour que ce jour soit et demeure le plus beau de votre vie, précise ce solide gaillard, qui travaille depuis l’adolescence dans l’organisation de soirées (privées) et d’évé-nements (publics) branchés. Les qualités d’un bon wedding planner ? Patrick Ipsen : Etre à l’écoute. Déterminer avec précision la ou les prestations à fournir, depuis le montage d’un « mariage clés en main » jusqu’à l’in-tervention restreinte sur la recherche d’un lieu, le tirage d’un feu d’artifices ou la réalisation de la pièce montée (nouvelle valeur sûre du mariage branché). Savoir vous surprendre. Trouver les prestataires les

plus adaptés à vos exigences. Respecter le timing sans dépasser le budget fixé. Orchestrer la logis-tique le jour J et prévoir des « remplaçants » en cas d’imprévus. Essentiel : laisser une part à l’improvi-sation et à la magie de l’instant. Combien ça coûte ? Les gens s’imaginent que faire appel à un wedding panner va doubler le budget du mariage. Faux. Je propose le concept à l’américaine, à savoir que les prestataires que je propose me versent une commission afin que le prix n’augmente pas pour le client. Pour un beau mariage, comptez un minimum de 20.000 €, sachant qu’un photographe démarre vers 2500 €, un bon traiteur tourne autour de 10.000 € pour 150 personnes assisses… Faut-il s’y prendre longtemps à l’avance ? L’idéal, c’est de me contacter le plus tôt possible, en décembre pour juillet, par exemple. Certains endroits sont bookés deux ans à l’avance. Les lieux (à louer) que Patrick préfère à Bruxelles ? L’ancien Théâtre du Vaudeville dans la galerie de la Reine ; le Cercle de Lorraine récemment installé dans l’ancien palais des princes de Mérode ; les entrepôts de l’Arsenal à Etterbeek ; la Maison Grand-Place sur la célé-brissime place éponyme ; le Chalet Robinson au milieu du lac du bois de la Cambre ; l’espace B19 à Uccle ; le nouvel atelier ultra contemporain de l’artiste Isabelle de Borchgrave, entouré de ter-rasses et de jardin à la japonaise, à Ixelles, archi-tecturé par Claire Bataille… Yes by PLB Consult - www.plbconsult.eu

L’appLication Pour connaitre tous les trucs et les astuces de pros, iGuideMariage réunit des fiches pratiques pour faire le point à chaque étape et un ensemble (idéal) de questions à poser et à utiliser lors des rendez-vous avec les prestataires. 1,59 euros sur l’app Store

coaching à La carteFaites appel à un coach (Fée Des Merveilles) pour savoir comment négocier avec les diffé-rents prestataires, tenir un budget, respecter le planning. De plus, ce pro vous ouvrira son carnet d’adresses. En moyenne, comptez entre 200 et 500 € pour la recherche de prestataires, 250 € pour une séance de coaching de 4h, à partir de 800 € pour la coordination le Jour J. www.feedesmerveilles.be

geStion de fête Emilie Waisblum et Sharon Thiel, connues et reconnues sous le nom de code « InviteOut Evenements », ont repris l’idée de la fête made in America et réalisent (depuis 7 ans) quelques-uns des mariages « all inclusive » les plus fous de la capitale.www.facebook.com/inviteout-evenements

Patrick IpsenL’organisation des festivités vous dépasse ? Faites-vous aider ! A la fois régisseur, coach, conseiller, maître de cérémonie et « ambianceur », Patrick Ipsen est un wedding planner heu-reux. Plus efficace qu’un conseiller conjugal ! –Par Raoul Buyle

DéléGuEz

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Mariage sur la plage, à Saint-Tropez

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bijoux

Les diamants sont le meilleur ami de la femme, susurrait Marylin. Diamonds are forever, mugis-sait Shirley Bassey. Il semble bien que ces petits cailloux d’exception en ait fait chanter plus d’une ! Mais il serait dommage que la féminité ne se satisfasse que des hommages (hors de prix) de la Haute joaillerie. « Aujourd’hui, le comble du luxe, c’est de craquer raisonnablement pour un bijou signé par un grand nom de la Place Vendôme, et cela, sans faire grimacer son banquier », me glisse à l’oreille Anthony Klein. Car, si le diamant est éternel, la valse des tendances et des envies l’est tout autant. Anthony, c’est le fi ls de Serge Klein, fondateur depuis plus de 35 ans de la Maison du Diamant, à Bruxelles. « Notre notoriété, précise Serge Klein, est basée sur la longévité, le sérieux, la qualité de nos créations et le respect du client. Une joaillerie à l’ancienne en somme, mais que

nous gérons, de père en fi ls, avec des moyens contemporains, un site Web et une collection de bijoux résolument moderne. » Pourquoi Boucheron ? Parce que nous partageons les mêmes valeurs tant au niveau du produit, qu’au niveau de l’éthique et du rapport à la clientèle. Bou-cheron est une marque qui, comme nous, a l’esprit de famille et se plaît à explorer la face cachée du merveilleux en allant là où les autres ne vont pas. Tout dans cette Maison séculaire véhicule un message global lié à la joie, au bonheur et à une célébration de la vie : pour la famille Boucheron, comme pour Anthony et Serge Klein, la vie est une fête. Et le langage des bijoux est universel parce qu’il parle d’abord au cœur. Le saviez-vous ? Boucheron fut le premier joaillier à s’installer sur la place Vendôme, en 1893. La légende dit qu’il choisit le n°26 car il s’agissait de

FIANÇAILLES IDÉALESLa bague de fi ançailles touche à l’essence même du bijou, elle marque l’un des événements les plus importants d’une vie. On cherche donc ce qu’il y a de plus précieux, dans les matières, dans le savoir-faire et dans le dessin, souligne Anthony Klein. Notre design est une valeur ajoutée. Même sur un solitaire qui parait simple, le travail d’équilibre entre la pierre et la monture demande une vraie expérience. Le moment de choisir ce bijou doit aussi être à la hauteur de l’importance de l’événement. La Maison du Diamant mise beaucoup là-dessus ! Nos clients (re)viennent pour la qualité des diamants et pour notre savoir-faire, mais aussi pour être reçus en particulier par des gens expérimentés. 

TECHNOLOGIE 3DGrâce à la 3D, les limites de la créativité sont infi nies. Nous sommes entrés dans l’ère du sur-mesure parfait et de la pré-cision extrême. Une révolution high-tech qui permet au plus grand nombre de conceptualiser le bijou de ses rêves en quelques clics. Le client devient coauteur du processus de création de sa bague tout en bénéfi ciant à la fois de notre expertise et de nos prix attractifs. La technologie est ici mise au service d’un artisanat ancestral.

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l’emplacement le plus ensoleillé de la place. Il pen-sait qu’ainsi, les diamants exposés dans les vitrines brilleraient avec encore plus d’éclat. Le succès de Boucheron réside dans la façon dont ses artisans mettent en valeur la beauté naturelle des pierres. Par le choix de la taille et le travail des métaux, le joaillier a su révéler l’âme cachée d’une pierre en exposant au monde sa beauté parfaite. A l’aube du XXe siècle, une future mariée américaine, la richis-sime Mary Ethel Burns, qui devint Lady « Loulou » Harcourt, fi t appel à Boucheron pour créer des bijoux pour son trousseau de mariée. Après son mariage, elle demeura fi dèle au joaillier français qui, depuis, propose une large collection de bagues de fi ançailles et d’alliances. Sachez que vous bénéfi -cierez du service exclusif Boucheron en achetant ses produits à La Maison du Diamant.www.lamaisondudiamant.com

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collection Cypris.

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En tête des adresses de référence, la Maison du Diamant a choisi de représenter – en exclu-sivité – les collections Boucheron à Bruxelles. Un nom, une histoire, un style…qui s’ac-cordent parfaitement avec l’aura de cette joaillerie mythique du boulevard de Waterloo.–Par Raoul Buyle

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bagues

Une tendance au service de la romance : porter des bijoux où les diamants, comme nous, se rencontrent et s’éblouissent pour ne plus se quitter. Rencontre de Didier Tolet, joaillier depuis trois générations, qui fait si bien rimer préciosité avec air du temps. —Par Raoul Buyle

Dirigée par Carole, Muriel et Didier Tollet, la maison Tollet fait merveille dans les secteurs de l’horlogerie et de la création joaillère. La sou-plesse des structures de cette entreprise 100 % familiale et le dynamisme de sa direction sont les éléments qui renouent avec une tradition de création vivante. Loin d’en tirer quelque orgueil, Didier Tollet recherche déjà les mouvements les plus techniques, les diamants les plus purs, les lignes de bijoux les plus portables au quotidien. Racontez-nous l’histoire de la Maison Tollet ?Didier Tollet : Nous sommes en 1902, à Lou-vain. Mon grand-père, Jules Tollet, ouvre un commerce de montres de poche, des montres à gousset de la marque Tollet (avec des mouve-ments achetés en Suisse) vendues notamment aux Chemins de fer Belges. En 1954, mon père ouvre un point de vente à Bruxelles, au 36 de la rue des Fripiers, avec la volonté de vendre des bijoux et des montres. Aujourd’hui, nous comp-tons 6 magasins à Bruxelles et Waterloo. Et nous avons à cœur de maintenir un privilège devenu rare aujourd’hui : avoir notre propre atelier de joaillerie et de réparation horlogère. C’est le cœur battant de la maison Tollet ! Nos artisans y créent, fabriquent, transforment et réparent grâce à leurs doigts d’or. Etes-vous plus horloger ou plus joaillier ?Les deux. Au fil des années, nous sommes devenus les seuls à dévoiler autant de choix en matière de montres en Belgique. Depuis le très haut de gamme jusqu’à des marques plus acces-sibles. Quant à la joaillerie, elle implique de choi-sir les plus belles pierres sur le marché, je me

« TOI & MOI » rends depuis 27 ans en Asie et à Anvers pour acheter moi-même nos gemmes précieuses. Pas d’intermédiaires, donc un coût fi nal moindre pour le client. Mon rôle et celui de mes sœurs c’est aussi de découvrir en Italie les nouveaux créateurs dont les bijoux ont plusieurs carats d’avance. L’un de vos best-sellers : la bague de fiançailles…Oui. Des bijoux que nous réalisons, en majorité, nous-même. Envie d’un solitaire ou d’une alliance en brillants ? Le choix se passe dans un petit salon, feutré et intimiste, où vous serez reçu(e) en particulier, le Diamond Lounge. Discrétion oblige ! Nous vous conseilleront dans le choix de vos pierres ou encore dans la création du bijou de vos rêves. Que pensez-vous du retour en force du diamant ? Toutes les bagues en diamants au classicisme rassurant répondent aux attentes actuelles : un bijou durable, capable de résister au temps et aux modes qui passent. Ceci dit, un solitaire restera toujours le plus beau cadeau qui puisse être fait à une femme. Et toute femme désire en posséder un, c’est la « petite robe noire » de la joaillerie. C’est « la » bague Tollet par excellence ! Chez Tollet, dit-on, la transparence prime. Nous expliquons toujours ce qui peut être réalisé en fonction de la qualité, de la taille et des dimen-sions de la pierre. Par exemple, une transforma-tion n’est pas souhaitable si le coût de fabrication dépasse la valeur de la gemme à réutiliser. Existe-t-il une (ou des) marque à laquelle vous êtes fi dèles depuis le début ? Omega depuis presque 50 ans, une collabora-tion avec Cartier qui a débuté dans les années 70, Tissot… Nous avons été les premiers à vendre les bijoux Messika. En matière de bijoux, on a souvent été pionnier. Vos derniers « coup-de-cœur » ? La montre Calibre de Cartier « Diver », la ligne « Happy Spirit » de Chopard, les bijoux Recarlo, les montres et les accessoires Mont-Blanc… Nous représentons aussi depuis peu la marque horlogère Zénith. Et je viens de trouver à Bang-kok un saphir vraiment exceptionnel ! www.tollet.com

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création

Elle est la créatrice (belge) de bijoux dont tout le monde parle. A la fois thé-rapeute et joaillière, Gaëlle Woodbury crée des « joyaux talismans ». A forte charge émotionnelle. –Par Céline Pécheux

À mille lieues des grandes enseignes de la joaillerie classique, Gaëlle Woodbury ne fait pas de publicité, son patronyme lui sert de marque, sa boutique se résume à un atelier dis-cret, lové dans un coin de sa maison, du côté d’Anvers. Son succès ? Elle le doit à son talent original et au bouche à oreille…qui fonctionne plutôt bien En dehors de tout système de mode, cette it-girl, aussi belle que sensible, répond aux demandes d’une (jeune) clientèle en quête d’émotion. A la recherche d’un bijou précieux mais pas inaccessible, qui touchera l’être aimé au sens propre comme au fi guré. Rencontre.

Votre parcours ?Gaëlle Woodbury : Le rapport à l’humain et à ses émotions est essentiel pour moi. J’ai donc tout naturellement fait des études pour devenir psy. En thérapie, on explore le rapport à soi-même, mais aussi le lien affectif qui nous unit aux autres. C’est ce lien que j’ai eu besoin de matérialiser sous forme de bijoux. Passer de la psychologie à la joaillerie peut paraitre atypique, mais pour moi, ç’est beaucoup plus évident ! Il y a un lien assez logique et naturel entre mes deux activités.Le déclic créatif ? J’ai commencé à créer des bijoux il y a neuf ans, juste après la naissance de ma fi lle. Fusionnelle, j’ai très vite cherché le moyen de garder mes enfants près de moi le plus de temps possible. D’où l’idée de repro-duire dans l’or leur empreinte digitale (la plus unique de nos singularités) et le battement de leur cœur via un électrocardiogramme. « Touch Me » et « Love On The Beat » sont mes deux col-lections phares. Offrir son cœur devient enfi n un souhait réalisable !

En pratique ? Les personnes intéressées par un bijou sur mesure viennent chez moi, à la maison, je prends l’empreinte de leur pouce ou de leur majeur et/ou j’enregistre le battement de leur cœur ou celui de leur enfant. C’est toujours un moment émotionnellement fort, pour eux comme pour moi. Chacune de ces créations est ensuite fabriquée à la main (par des artisans anversois) en or (jaune ou blanc), serti ou non de diamants. Votre plus grande qualité ? L’enthousiasme. Je m’emballe très vite quand quelque chose me plait. J’ose pousser les portes et aller jusqu’au bout de mes rêves.Votre moteur ? L’amour. L’amitié. La famille. Votre style en trois mots ? Emotionnel. Intem-porel. Rock’n’roll. Côté look : teeshirt, jean, bas-kets, c’est mon uniforme quotidien pour tous les jours. Le soir, pour sortir, il m’arrive d’être plus sophistiquée. Mais, maman, psy et créatrice de bijoux à plein temps, je préfère être casual et confortable. Le plus beau compliment qu’on puisse vous faire ? J’aime quand on dit de mes créations qu’elles sont intemporelles et faciles à porter.La création qui restera gravée ? Un bracelet pour une grand-mère composé des « empreintes » de ses enfants et de ses petits-enfants. Une idée sur le mariage ? C’est un magni-fi que pari. Un pacte d’espoir pour lequel il faut se battre tous les jours. Je me suis mariée reli-gieusement alors que ma fi lle était déjà née. Je garde un très beau souvenir de cette journée magnifi que. Votre actualité ? La marque « Gaëlle Woodbury » est désormais présente chez Browns, à Londres. Concernant mes créations sur mesure, je lance une nouvelle collection de colliers qui traduisent les empreintes phonétiques… En matérialisant les ondulations de la voix, le mot « Je t’aime » ou « Veux-tu m’épouser ? » devient un bijou design et émotionnel ! Je crée aussi deux fois par an une ligne de bijoux « prêt-à-porter », comme les petites boucles d’oreille « Leaves à love » en or et diamants. www.woodbury-jewelry.com

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1) Bronze de Vienne. Singe sur socle de marbre 2) Bronze de Vienne. Deux oiseaux dansant. XIXème siècle 3) Table basse en fer et bois. XXIème siècle 4) Miroir post-gustavien en bois doré. Suède fi n XIXème siècle 5) Chandeliers à 5 branches en cuivre et bois 6) Etagère patinée. Fin XIXème siècle 7) Bulldog anglais. XXème siècle

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beauté

Elle a les yeux vert émeraude, un teint de pêche et le sourire ravageur. Sa bouche gourmande est aussi mordante que ses mots, affûtés et toujours à propos. « Je ne lis pas les rubriques beauté, tout cela concerne des fi lles de 2,12 mètres de haut à la peau surnaturelle et à la chevelure de walkyrie. » Le ton est donné ! Celui de la simplicité et de la beauté au naturel. – Par Nina Van Pallandt

Elle s’est mariée cet été à Ibiza. Sous le soleil exac-tement. Pour un style naturel et craquant, on s’ins-pire des gestes beauté de Céline. Aussi jolie que discrète, la journaliste (bruxelloise) nous parle de son mariage et de ses recettes de beauté toutes simples. Votre premier geste beauté le matin ? Avaler un jus de citron avec un peu d’eau tiède ; puis je rince mon visage à l’eau glacée. Un « toc » que je tiens de ma mère. Elle a 62 ans et une peau de bébé.Et votre dernier geste, le soir ? Je me démaquille complètement avec une eau micellaire ; et avant de me coucher je bois une infusion gingembre, cur-cuma, cardamone, avec un zeste de citron. Vos favoris qui ne quittent jamais votre beauty

case ? Ma brosse à cheveux Mason Pearson, la crème de 8 Heures d’Elizabeth Arden pour les lèvres, la crème hydratante pour le visage à l’onagre d’Aesop (une marque australienne en vente chez Senteurs d’Ailleurs). Vos astuces pour une mine d’enfer ? Avant d’aller dormir, je mélange un peu d’autobronzant Chanel avec ma crème hydratante habituelle. Au réveil, un peu de poudre Terracotta de Guerlain (en été) ou de la poudre libre (Diorskin Nude Air), un jus pomme-carotte-gingembre et le tour est joué ! Pour les grandes occasions, j’opte pour un fond de teint très léger (Diorskin Nude Poudre Fraîcheur Effet Peau Nue ou Lingerie de Peau de Guerlain). L’idéal : une crème ultra fl uide enrichie en particules de lumière qui permet de capter la lumière et de gagner en éclat.Dans votre trousse de maquillage, on trouve toujours… Mon trio de choc : une poudre libre pour avoir un joli teint doré toute l’année, un mas-cara noir et du beurre de cacao ou un baume à lèvres lissant et nourrissant longue durée (Crème de Rose de Christian Dior) enrichi d’un extrait d’huile essentielle de rose, de beurre de karité et de vitamines énergisantes.Votre rituel corps ? Je prends un bain très chaud tous les soirs avec le mélange d’huiles essentielles « Détente-Sommeil » de chez Puressentiel, l’occa-sion aussi de faire un gommage au gant de crin avec le Good Luck Scrub de la marque Rituals. Comment soignez-vous vos cheveux ? J’ai les cheveux bouclés, fi ns et secs. Du coup, le masque

à l’huile de fi gue de Barbarie de Christophe Robin leur fait un bien fou ! Et un pschiiit de « brume » pour les cheveux Hair Mist de La Petite Robe Noire (Guerlain). Un make-up particulier pour le jour de votre mariage ? Le jour de mon mariage, à Ibiza, je vou-lais être le plus naturelle possible avec une peau zéro défaut. C’est la make-up artiste Jennifer Cou-rouge (www.jennifercourouge.com) qui s’est occu-pée de mon maquillage et de ma coiffure. Mon conseil pour être belle le jour J : faire une petite cure de jus une semaine avant de dire « oui » his-toire d’avoir un teint lumineux et un ventre tout plat.A l’inverse du traditionnel « poisson vapeur haricots verts », les nouvelles techniques à mincir débordent de créativité. Quelle est la vôtre ? Juste avant l’hiver, j’ai testé le régime macrobiotique du docteur Michio Kushi à la Sha Wellness Clinic, à Alicante. Le principe est simple : on élimine de son assiette toutes les protéines ani-males (sauf le poisson gras pour les Oméga 3), les œufs, le fromage et les sucres rapides ; et on privilégie les céréales, les légumes, les algues et les oléagineux à chaque repas. C’est pour moi, le meilleur moyen de perdre du poids de manière saine et équilibrée.Massage ou sport ? Les deux. Après le sport (sans excès), le réconfort. Mon Spa préféré, celui du Post Ranch Inn à Big Sur (Californie). Un endroit magique où on se fait masser devant un feu ouvert crépitant et de grandes baies vitrées avec vue sur l’océan.

Céline Pécheux

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N’en déplaise aux végétariens, les adresses pour carnivores font plus que jamais l’actualité. Et le bœuf y tient le haut du pavé. Installé rue Jean Stas, à Bruxelles, « Colonel » est une déclaration d’amour à la viande de bœuf, racée, de haute lignée, le plus souvent maturée, que le client choisit lui-même à l’étal du boucher. Comme on choisirait un objet précieux. A la tête de cet éta-blissement haut gradé, Anaïs Droeven et Benoît Vano, un couple de trentenaires passionnés qui, après avoir fait deux enfants et eu des parcours professionnels très différents, ont décidé de réa-liser leur rêve : ouvrir un restaurant. Résultat : une adresse « monomaniaque » de 75 couverts, au décor néo-bistrot, avec cuisine ouverte et comp-toir XXL. Ici, la métaphore bouchère est soigneu-sement filée : tables en bois, serveurs hypsters en jean et salaisons suspendues à des crochets. Entre deux services, Anaïs nous raconte la genèse de cette success story.L’origine de votre concept ?Anaïs Droeven : Il y a un an, Benoit et moi sommes partis à Orlando avec nos enfants pour les vacances. Sur place, on a flashé sur un steakhouse à la déco racée. La viande maturée y était mise en scène au milieu des tables dans une grande chambre froide vitrée. On s’est dit que c’était ça qu’il fallait faire à Bruxelles ! Un endroit chaleureux où il était possible de manger de la viande de boeuf de qualité. On l’appellerait « Colonel » en hommage au grand-père de Benoît qui était militaire. A notre retour, tout s’est enchaîné très vite. On a trouvé

l’endroit, le chef, Benjamin Laborie, et fait le tour de la France pour rencontrer différents éleveurs. Quelques mois plus tard, les travaux se terminaient et on accueillait nos premiers clients. Quel est le secret d’une bonne viande ? Une vache qui court dans un pré, qui est élevée et abattue sur ses terres. Chez nous, toutes les viandes ont le label rouge. Une appellation qui désigne des viandes qui, par leurs conditions de production ou de fabrication, ont un niveau de qualité supérieure. Après, c’est une question de goût. Chaque race à ses caractéristiques gus-tatives. L’Aubrac, par exemple, est une viande qui a de la mâche, tandis que la Charollaise est beaucoup plus tendre. De plus, quand une viande est abattue, il faut attendre au moins une semaine pour pouvoir la consommer. Pour avoir une viande tendre, avec du goût, une maturation de minimum quatre semaines est indispensable. Le secret du succès de Colonel ? La passion et la cohérence de notre concept. Ici, la star, c’est la viande de boeuf de qualité ! Contraire-ment à d’autres établissements qui mettent en avant leur chef, la décoration ou encore une carte à rallonge, Colonel se concentre uniquement sur le produit. Ouvrir un resto en couple, c’est comment ? Benoît a toujours rêvé d’ouvrir son propre restau-rant, mais il ne voulait pas se lancer dans l’aven-ture sans moi. Par amour, je l’ai suivi. Nous avons des compétences très différentes mais complé-mentaires. Benoît a fait une formation en école

Anaïs Droeven Benoît Vano

hôtelière, il s’occupe de la gestion. Moi, je gère la com’, le marketing, l’accueil des clients… Il y en a toujours un de nous deux (au moins) qui est présent sur place, pendant que l’autre prend soin de nos enfants.C’est quoi le secret de votre « couplicité » ? On est dans une logique de partage créatif, d’échange d’idées, d’enrichissement grâce à l’autre, d’attitude coopérative et associative. À deux, le processus de création est sans cesse en éveil. On perd en doute, on gagne en fertilité. Il n’y est absolument pas question de hiérarchie et encore moins de dominant-dominé.Le plus beau compliment que vous avez reçu jusqu’à présent ? Qu’on avait réussi à créer un établissement avec une identité forte. C’est le plus beau compliment que l’on puisse nous faire ! On a vraiment pensé cet endroit de A à Z pour qu’il soit le plus cohérent possible. Chez Colonel, on essaie également d’éduquer les gens. Notre carte se veut pédagogique avec beaucoup d’informations concernant les diffé-rentes viandes, labels, élevages… Nous passons aussi beaucoup de temps à chaque table pour expliquer notre concept. Et si vous vous mariez un jour, ce sera com-ment ? Ce sera un mariage très simple en petit comité. Un BBQ dans le jardin par exemple. Après 12 ans de vie commune, deux enfants, une maison et, maintenant, notre restaurant, un mariage serait la cerise sur le gâteau. (rire) www.colonelbrussels.com

Parce que de leur com-plicité a jailli l’idée. Parce que l’union fait la force. Parce qu’ils s’aiment, Anaïs Droeven et Benoît Vano ont choisi de travailler en mode duo. Ensemble ils ont créé le plus « carnassier » des (nouveaux) restaurants bruxellois : « Colonel ». Assurément the place to be. –Par Céline Pécheux

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évasion

Inutile de vous le cacher, l’île Maurice est l’une de nos destinations préférées. Un rendez-vous intime avec le bonheur de vivre au rythme du soleil toute l’année. Un éden de saveurs et de sensations, évanoui entre le vert et le bleu, qui propose le plus recherché et le plus rare des luxes : le calme. Ici, la notoriété du Royal Palm, liée à l’excellence de ses services, n’est plus à faire. Il s’agit de la plus belle adresse de l’île. Point de luxe ostentatoire, ni de protocole guindé, au Royal Palm on se sent très vite comme chez soi ou chez de bons amis. Où que vous soyez, à l’ombre de votre paillote, sur votre terrasse ombragée ou à la table de l’un des restaurants, tout semble aller de soi, naturel-lement, en toute harmonie. Accueilli par le sourire d’un personnel dont la gentillesse n’a d’égal que

Mariage à la Mauricienne L’île Maurice est la toile de fond idéale pour une lune de miel torride et romantique à souhait, voire pour se marier ou renouveler ses vœux. Sous le soleil exactement. No stress, laissez l’équipe des hôtels du Groupe Beachcomber s’occuper de tout ! Des pros à votre service pour ne jamais oublier ce voyage de rêve.

Documents requisPour se marier (civilement) à l’île Maurice, il vous faut : • 3 copies des trois premières pages de vos passeports • 3 copies de vos certificats de naissance délivrés (pas plus de trois mois avant la date du mariage) • 3 copies du certificat de divorce ou du certificat de décès du conjoint le cas échéant • Un formulaire de demande (fourni par le tour-opérateur) dûment rempli et signé par les futurs mariés

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PareNthèSe

eNchaNtéele professionnalisme, vous êtes l’hôte du Royal Palm. Des hôtes qui reviennent chaque année, ce qui est toujours très bon signe. Récemment, après plusieurs mois de lourds travaux, l’hôtel a réussi le pari de faire peau neuve sans changer vraiment, sans perdre son atout majeur : sa délicieuse désinvolture faite de confort, de luxe et de générosité. Ouf ! Nouveau décor, plus contemporain, jardins redessinés, toujours aussi verdoyants, une troisième piscine en plus, longeant l’océan sur près de 25m… Perso, je préfère la plage. Une langue de sable blanc, ourlée de cocotiers, ratissée trois fois par jour. Et d’un avis unanime, les « initiés » se disent ravis des dernières transformations. Au-delà de la noblesse des matériaux, chacune des

Tout change, rien ne change ! A Maurice, le Royal Palm s’offre le luxe d’un sacré coup de jeune. Si le palace se débarrasse de quelques-unes de ses chambres pour donner plus d’ampleur à ses suites, l’atmosphère de « maison » reste quant à elle inchangée. Assurément le lieu idéal pour une lune de miel. –Par Raoul Buyle

suites a son histoire. Chaque chose a sa raison d’être, chaque détail est pensé, chaque espace accueille un objet précis. Autre atout du Royal Palm : sa cuisine. Le chef, le divin Michel De Mattéis, reste bien sûr aux commandes de La Goélette qui bénéficie d’une nouvelle mise en lumière, ainsi que du Bar Plage, très élégamment épuré. A ces deux tables vient s’ajouter La Brezza, une trattoria dirigée par un (vrai) chef italien, Alessandro Morino. La meilleure pasta de toute l’île ! Accompagnée comme il se doit d’un Chianti ensoleillé. Dis donc les amou-reux, un dîner romantique, rien qu’à deux, sous les étoiles de l’ile Maurice, entre intimité remarquable et sociability cosy, ça ne vous tente pas ?…www.royalpalm-hotels.com

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pêle-mêle

Et si l’essentiel était l’accessoire ? Une fleur en soie dans les cheveux, un hea-dband pour faire tendance, un chapeau pour le chic. Bien choisi, bien propor-tionné, réalisé sur mesure par Amélie d’Hooghvorst, il booste l’éclat d’une allure. Et pas uniquement pour le jour de votre mariage. Chaque création est unique, entièrement réalisée à la main,

à mille lieues du luxe fabriqué en série. Dans sa boutique-atelier, à Boitsfort, la modiste vous reçoit en particulier. Que votre style soit classique ou très avant-gardiste, discret ou audacieux, Amélie d’Hooghvorst sait s’adapter et créer la pièce unique qui sublimera vos tenues et affirmera votre personnalité.www.ameliedhooghvorst.com

Du 12 au 15 mars, Creativa ouvre ses portes aux esprits les plus créatifs (en même temps que le salon Artisanart). A l’occasion de son 18e anniversaire, ce salon euro-péen entièrement dédié aux loisirs créatifs et au « fait main » convie les passionnés et les pros à Brussels Expo (Palais 7). Au menu : des ateliers animés, des expositions variées et des boutiques attrayantes. Entre Initiations et découvertes, Creativa dévoile aux petits et aux grands les dernières tendances et le meilleur matériel en matière de couture, tricot, broderie, création d’accessoires, mais aussi dans l’art de la table, la peinture ou la cuisine. Et, cette année, le mariage est l’honneur. www.creativa.eu – www.artisan-art.be

carnetfamilial.be Rédigez sur Internet votre faire-part de mariage ou de fian-çailles, et annoncez-le dans le mythique « Carnet familial » du mardi de La Libre Belgique et sur le site de lalibre.be. Choisissez votre catégorie d’annonce sur www.carnetfa-milial.be et remplissez les champs en quelques clics avant de visualiser le résultat. Ce nouvel outil multimédia sert à la fois de site pour les internautes (comme un prolongement du journal) et de nouvelle plate-forme d’encodage pour le Service Interne de Petites Annonces de la Libre. Dès la réception du paiement, votre annonce est publiée et diffu-sée selon les options choisies. Simple, rapide et efficace.www.carnetfamilial.be

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